Usui était bien embêté.e. Déjà parce que qui avait eu la merveilleuse idée de faire des étagères de bibliothèque qui faisait trois fois sa taille ? Et ensuite et surtout parce que ça faisait plusieurs jours que Yoru n'avait plus d'appétit. Oui, Yoru, son gros chat qui n'était pas le dernier pour piquer dans son assiette dès qu'iel avait les yeux ailleurs - et avec des réflexes digne d'un attrapeur malgré son âge qui commençait à se faire avancer - ne mangeait presque plus. A tel point que la grosse boule de poils qu'il était avait commencé à fondre. Ça inquiétait beaucoup saon maître.sse, qui n'avait jamais été confronté.e à ce cas de figure jusqu'à présent. Ellui aimait profondément son vieux chat dodu, et iel avait peur que les choses deviennent plus grave qu'une simple perte de poids si rien était fait.
Le problème était qu'iel ne savait pas trop vers qui se tournait. Les infirmiers, c'était pour les humains, et le professeur de Soins aux créatures Magiques, eh bien c'était pour les créatures magiques. Yoru était certes incroyable, mais iel doutait que cela suffise pour rentrer dans cette catégorie.
Finalement, Usui avait fait le choix le plus logique lorsqu'on se retrouvait confronté à un problème inconnu : iel était allé.e à la bibliothèque de Poudlard. Celle-ci contenait plusieurs dizaines de milliers de livres, sur tous les domaines possibles et imaginables. Iel y trouverait donc bien au moins un ou deux livres sur les chats.
Et en effet, il y avait bien un rayonnage dédié aux animaux domestiques communs, très reconnaissable au fait que des miaulements semblait s'échapper d'un des livres, sans que lae Serdaigle ne puisse identifier lequel, ce qui l'aurait bien aidé, et qu'un autre avait la tranche recouvert d'un duvet de plume.
C'est ainsi qu'Usui s'était retrouvé.e confronté.e au deuxième problème, bien moins grave que le premier, mais tout de même ennuyant. Les livres susceptibles de l'intéresser étaient en hauteur, dans les dernières étagères, si bien que lae japonais.e ne voyait même pas leurs titres sur la tranche. Ce qui n'était pas très pratique pour choisir lesquels prendre. Avant de se résoudre à faire venir à ellui tous les livres par magie, iel se hissa sur la pointe des pieds, en levant la tête, ses mains s'appuyant sur l'étagère à sa portée, yeux plissés, pour essayer de lire les titres des livres. De façon non surprenante, cela ne changea oas grand-chose à son problème. Iel aurait pu aussi demander de l'aide bien sûr, après tous les Serdaigle étaient légion dans la bibliothèque, iel était trop fier pour ça. Et puis, iel aurait fallu entamer la conversation et peut-être même expliquer pourquoi iel voulait ces livres. L'horreur.
Le problème était qu'iel ne savait pas trop vers qui se tournait. Les infirmiers, c'était pour les humains, et le professeur de Soins aux créatures Magiques, eh bien c'était pour les créatures magiques. Yoru était certes incroyable, mais iel doutait que cela suffise pour rentrer dans cette catégorie.
Finalement, Usui avait fait le choix le plus logique lorsqu'on se retrouvait confronté à un problème inconnu : iel était allé.e à la bibliothèque de Poudlard. Celle-ci contenait plusieurs dizaines de milliers de livres, sur tous les domaines possibles et imaginables. Iel y trouverait donc bien au moins un ou deux livres sur les chats.
Et en effet, il y avait bien un rayonnage dédié aux animaux domestiques communs, très reconnaissable au fait que des miaulements semblait s'échapper d'un des livres, sans que lae Serdaigle ne puisse identifier lequel, ce qui l'aurait bien aidé, et qu'un autre avait la tranche recouvert d'un duvet de plume.
C'est ainsi qu'Usui s'était retrouvé.e confronté.e au deuxième problème, bien moins grave que le premier, mais tout de même ennuyant. Les livres susceptibles de l'intéresser étaient en hauteur, dans les dernières étagères, si bien que lae japonais.e ne voyait même pas leurs titres sur la tranche. Ce qui n'était pas très pratique pour choisir lesquels prendre. Avant de se résoudre à faire venir à ellui tous les livres par magie, iel se hissa sur la pointe des pieds, en levant la tête, ses mains s'appuyant sur l'étagère à sa portée, yeux plissés, pour essayer de lire les titres des livres. De façon non surprenante, cela ne changea oas grand-chose à son problème. Iel aurait pu aussi demander de l'aide bien sûr, après tous les Serdaigle étaient légion dans la bibliothèque, iel était trop fier pour ça. Et puis, iel aurait fallu entamer la conversation et peut-être même expliquer pourquoi iel voulait ces livres. L'horreur.