Tu es pas mal avec ta tête de gnou

Qu’ils sont tous fatiguant ! Cela fait juste quelques jours que la rentrée a eu lieu et tout le monde dans la maison des Serpentard est déjà stressé pour les cours et les examens. Ils sont tous des idiots, ils n’avaient cas travailler un minimum pendant l’été au lieu de se la couler douce pendant deux mois. Tout ce bruit m’empêche de me concentrer, même dans ma chambre alors que je dois travailler sur l’article des futurs sélections des joueurs de Quidditch. Il me faut un endroit calme pour travailler. Je peux aller à la bibliothèque, mais ce n’est pas forcement le meilleur endroit, surtout que quand je travaille sur ce genre de projet, j’ai tendance à parler seul. C’est pour cela que finalement, je me dirige vers un endroit ou personne ne va, la cabane hurlante.

Pourquoi personne n’y va ? Tout simplement parce que la majorité pense que cette vielle bicoque est hantée. C’est encore une fois la preuve qu’ils sont stupides. La seule raison valable pour ne pas y aller c’est qu’elle peut être dangereuse. C’est sur qu’au premier à bord, elle ne paye pas de mine. On peut même avoir l’impression parfois qu’elle « tremble » quand il y a trop de vent.

C’est donc, avec mon sac à bandoulière que je m’avance vers cette vieille maison en bois. Une fois que je me trouve devant, je la regarde de haut en bas. C’est vrai qu’elle ne donne pas vraiment envie d’y aller. Même aujourd’hui, alors qu’il y a un grand soleil. Après tout, personne ne sait que j’avais l’intention d’aller à l’intérieur. Je peux simplement m’installer devant dans l’herbe non ?

C’est d’ailleurs ce que je vais faire. Je m’installe en tailleur dans l’herbe, a quelques mètres de la porte d’entrée. J’ouvre mon sac et commence à sortir plusieurs parchemins, avec des tableaux et des dessins de terrain de Quidditch dessus. Je reste bien en face de celle-ci afin qu’elle soit toujours dans mon champ de vision. Je sais très bien qu’elle n’est pas hantée, mais…on ne sait jamais.

Dernière édition par Lancelot D. Avery le Sam 14 Nov - 18:38, édité 2 fois

J’allais me faire dégnomer par mes parents, cela était sûre et certain. En fait, je voyais même la Beuglante et son contenu quand ils allaient apprendre la nouvelle. Surtout que tout les deux ne vivaient pas ensemble donc j’allais en recevoir deux pour me hurler dessus combien ils étaient déçus par mon comportement, que cela n’était pas ainsi que j’avais été élevé et que je ne leur faisais pas honneur, que je ne méritais pas d’être leur progéniture. Déjà, j’avais une chance extrême, Père n’était plus dans le conseil d’administration de l’école, donc il n’allait pas le savoir tout de suite et je n’aurais pas la Beuglante dès demain au petit déjeuner. Mais cela allait tout de même siffler à mes oreilles. Le plus simple, c’était de leur annoncer moi-même et de m’excuser platement, même si je n’en penserais pas un mot.

Dans la salle de Gryffondor c’était le bazar, une histoire de match à venir ou un défi débile entre deux élèves de ma maison donc je n’allais pas pouvoir me concentrer dans mon hypocrisie. La seule solution que j’avais c’était de m’isoler. Sortant de la maison, je me dirigeais vers la Cabane Hurlante, sachant que je n’y trouverais personne à cette heure-ci, du moins je pensais. Car quand j’arrivais sur les lieux, je m’aperçus qu’il y avait déjà quelqu’un d’installé, un dos que je connaissais parfaitement, Lancelot Avery.

« Salut le serpent, alors tu t’es fait viré de ta maison, que c’est dommage, ils devaient ne plus supporter ton mauvais caractère. »

Oui, je lui lançais d’emblée une petite pique car je savais qu’il allait le faire dans tous les cas, et alla m’installer face à la Cabane Hurlante, plusieurs mètres plus loin pour ne pas le déranger. M’asseyant dans l’herbe, je sortis plume et parchemin pour m’atteler à ma lourde lettre qui déclencherait les foudres de mes géniteurs. Je fis plusieurs essais, tenta plusieurs tournures mais rien ne me plaisait et les boulettes de papier s’accumulais autour de moi. Je finis par soupirer et me décida à demander de l’aide à mon comparse de solitude, sans pour autant être plus aimable que cela.

« Eh la face de troll vérolé, je peux te poser une question ? En fait pas la peine de me répondre car je vais te la poser quand même vu que tu n’es pas assez intelligent pour me répondre. Comment tu annoncerais à ta folle de mère que tu viens d’avoir un O en Etude des Moldus. Je dois l’annoncer à ma famille mais je ne sais pas comment le tourner pour ne pas recevoir une menace de déshéritage par Beuglante dès demain matin et une obligation de rentrer aux prochaines vacances pour subir un bourrage de crâne sur notre supériorité. »

Dans mon flots de méchanceté, je lui avais délivré le fond de mon problème que je savais qu’il comprendrait. Depuis le temps, on se serrait les coudes devant la bêtise de nos familles respectives.

J’avais eu besoin de m’isoler pour écrire un courrier à mes parents, m’excusant d’avoir eu un Optimal en Etude des Moldus et finalement je me retrouvais à proximité de Lancelot qui lui aussi avait dû avoir besoin de silence. Et pour le coup, cela m’arrangeait bien car j’avais besoin de son aide pour faire passer la pilule de la note auprès de mes proches. Comme je le chariais, il se fit un plaisir de me retourner ma remarque sur le manque d’intelligence vu que je lui demandais de l’aide, sans pour autant bouger.

J’allais le relancer quand enfin il se décida à se lever pour venir s’asseoir à mes côtés et consulter mes brouillons inachevés. Le laissant faire, j’attendis sagement son verdict avant qu’hoqueter en l’entendant. Ce qu’il me propose là est tout simplement révoltant, contraire à toute mes valeurs et toute mes idées, ce que je ne manque pas de lui dire.

« Face de gnou, tu en as d’autre des idées comme ça. Dis-le tout de suite si tu veux que je suive la trace de nos parents ! Tu sais que j’ai en horreur tout ce qu’ils ont fait par le passé et toi tu me proposes de le faire. Ton père c’était un gnome ou comment ça se passe ! »

Je lui fis la tête quelques instants, vexée qu’il sous-entende que j’étais comme mes parents avant de me rendre compte que je me trompais, il me proposait de leur faire croire que je l’avais fait, pas autre chose. Me tournant vers lui, je restais tout de même un peu boudeuse.

« Pardon, je me suis emballée. C’est juste que je ne veut pas qu’on pense que je suis comme eux, que j’en serais capable. Je me bat déjà contre ça, c’est pas pour détruire ce que j’ai fait jusqu’à présent. »

Prenant un parchemin et ma plume, je commençais à écrire ses idées, me vantant d’exploits malveillants envers des nés-moldus alors que j’en serais incapable. J’avais l’impression de me souiller, mais soit c’était ça, soit j’avais le droit à un stage intensif aux prochaines vacances.

En me braquant, je braque aussi Lancelot qui n’accepte pas que je parle de son père ainsi. C’est vrai que j’avais oublié ce petit détail qui avait son importance, il déteste encore plus son père que sa mère, et pourtant Merlin sais combien il haïs cette folle.

Dans tous les cas, le seul résultat que j’obtiens c’est qu’il soit vexé et qu’il aille plus loin tout en me rendant la monnaie de ma pièce. Je n’ose pas broncher, sachant que j’ai mal agis et m’attaque plutôt à ma lettre que je veut envoyer à ma famille, suivant tout de même son conseil, leur faire croire que je martyrise tout mes petits camarades Nés-Moldus. Tout en écrivant, je murmure ce que j’écris pour suivre le fil de mes idées.

« Cher Père….pas heureux….apprendre que …. Optimal en Etude….Oui je sais…digne d’une Malefoy…fange de la société. Comprendre…cours obligatoire…Ministère….votre souhait…avantage...connaitre cette vermine…place…fêter mon O….plongé la tête…Sang de Bourbe….toilette les plus sales….figure… « pétanque »….horreur sans nom…boules lourdes..petite balle….plus proche….exemple….imbécilité de Moldu…mal à vous…je sais que…mal à le lire….devais le faire….compreniez….stupidité….comprendrez et….cette note….des Moldus….maintenir….Malefou….excellence…..vermine à é-li-mi-ner ! Votre très chère fille dévouée, Adhara Malefoy. Terminé. »

Me levant, je regardais dans la direction de Lancelot avant de le rejoindre et de m’asseoir à ses côtés, comme timidement. Tout en lui tendant ma lettre, je recommençai à parler, timidement.

« Lancelot, est ce que tu peux me donner ton avis sur cela s’il te plait. Tu penses que ça va passer ? Qu’il va me pardonner cette note ? Et puis me dire si j’ai bien résumé la pétanque. Je sais que tu aimes les sports Moldus et je n’ai pas très bien compris le principe de ce jeu je t’avoue. »

J’espérais vraiment qu’il allait pouvoir m’aider. Et puis j’avais sorti la carte magie, le sport moldus. Je savais qu’il aimait les sports sorciers et moldus. Lui demander de l’aide enterrerais peut-être la hache de guerre.

J’avais vexé Lancelot, je le savais bien, mais je voulais me rattraper pour qu’il arrête de me bouder. Certes, on se charriait très souvent, voir tout le temps, mais dans le fond on s’appréciait, du moins moi je l’appréciais à sa juste valeur. C’est pour cela que je lui avais demandé de l’aide, avant de m’énerver, et que je lui demandais son avis une fois que j’eu finis ma lettre, espérant qu’il pourrait m’éclairer sur la justesse et la cohérence de mon courrier.

Je m’étais approchée une fois que j’eu terminé et m’étais assise à ses côtés, lui décrochant un soupir mécontent. Oui Lancelot, je t’avais emmené dans cette galère, tu me suivais jusqu’au bout. Même si tu ne veux pas me porter ton attention.

« Non je ne t’agresserais pas. Et je m’excuse à nouveau de l’avoir fait sans raison. En fait, j’espère même que tu me dises qu’elle est convaincante, cela voudra dire que j’ai réussi mon objectif. »

Lui tendant ma feuille, j’attendis qu’il la prenne, m’agaçant de le voir me snober ainsi, continuant d’écrire comme si je n’étais pas là, un vrai Serpentard celui-là. Et au moment où j’allais lui demander s’il comptait oui ou non, il finit par m’accorder son attention, m’arrachant limite mon courrier des mains pour le lire. Et le voilà qui se met à soupirer, comme si c’était un véritable torchon plein de mièvrerie alors que je me suis appliqué à faire ma sale garce, il va finir par vraiment me vexer lui. Pour finalement me jeter la feuille sur les genoux, l’air nonchalant et me donner son verdict. A ce moment-là, toute la mauvaise humeur que j’aurais pu emmagasiner le concernant s’évapore comme magie et je souris, heureuse.

« C’est vrai ? Oh c’est super ! Merci Lancelot, tu es le meilleur ! »

Me relevant après lui avoir coller un bisou de joie sur la joue, je cours à mes affaires pour recopier mon courrier, l’adressant cette fois à Mère. Je ne sais pas si Lancelot aura apprécié ma marque d’affection, mais c’était mon paiement pour son avis qu’il m’avait offert. Et c’est tout euphorique que je glisse mes courriers dans des enveloppes pour les mettre dans mon sac avant de m’allonger dans l’herbe, un grand sourire sur les lèvres. Le Serpentard avait illuminé ma journée, cela était sûr et certain.

J’éclate de rire en entendant mon camarade grommeler et s’essuyer la joue frénétiquement après mon baiser dessus. Il ressemble à un enfant que tatie Jacqueline aurait embrassé de manière baveuse alors que moi, il n’était presque pas humide mon baiser, il ne faut pas trop abuser non plus. Mais je sais que Monsieur a sa petite sensibilité donc je le laisse faire semblant de bouder, préférant m’allonger dans l’herbe pour regarder le peu de nuage qui passe dans le ciel. Et comme je m’y attendais, mon comparse arrête de faire sa tête de troll et viens s’installer à mes côtés, prenant garde à me montrer que son côté préservé de son visage.

« Bof, comme une rentrée j’ai envie de dire. Soulagée de revenir ici pour échapper à ma famille de tarée. J’ai encore dû promettre de bien travailler pour finir au Ministère alors que je ne veut pas. Et toi ? Ta rentrée ? Tes vacances ? Tu as voyagé Lancelot ? »

Je tournais la tête vers lui pour le regarder. Je faisais exprès de ne pas lui demander s’il était rentré chez lui, comme il habitait à Pré au Lard. A chaque grande vacance il avait juste à changer de rue pour être à la maison, assez pratique, même si je trouvais cela triste. Relevant la tête vers le ciel, je soupirais.

« Tu sais, parfois j’aimerais bien que Poudlard soit finis, pour avoir mon indépendance et ne plus devoir rendre de compte à la famille coincé du cul qui est la mienne. Tu imagines, je suis prise comme Auror, je voyage par mont et par vaux et je ne peux jamais rentré à la maison, ça serait le pied, non ? »

Je sourit à cette pensée, m’y voyant déjà et savourant cette sensation de liberté.

J’hochais la tête à l’énonciation de ses propres vacances. Il n’avait pas fait de folies, ou alors il me les cachait. Mais je ne cherchais pas à creuser, lui laissant ses cachotteries pour me projeter dans l’avenir, quand je serais Auror et que je ne rentrerais pas chez moi. Lancelot dû avoir une vision drôle car il se mit à ricaner, ce qui me tira un sourire avant de me demander de lui envoyer des cartes portales. Alors que j’allais lui promettre de le faire, il rencheris sur l’autographe qu’il allait me faire, ce qui lui valu un coup de coude dans les côtes avant de me redresser.

« Mes pas de gnous t’embête. Si c’est ça, je ne t’enverrais rien du tout. Ou alors si, les plus moches que je trouve avec toujours le même message. Salut le plus immonde des trolls vérolés que je connaisse. J’espère que tes champignons de pied vont bien. Allez salut, et oublie pas la douche ce soir. »

Je lui tirais la langue, vengeresse avant de me relever en retrouvant mon sérieux.

« Je vais devoir retourner réviser, en espérant qu’ils seront calmés. Je serais bien resté, mais je ne veux pas te déranger dans tes études… »

Je ne terminais pas ma phrase, espérant qu’il me proposerait de rester, tout en commençant tout de même à reculer pour ne pas m’imposer à ses côtés.

Je me contentais de sourire quand il me proposa de rester quand même et revint m’asseoir à mes côtés tandis qu’il restait allongé dans l’herbe, profitant du vent qui soufflait, ébouriffant tout les deux nos cheveux. Alors que je m’appuyais sur mes mains posé plus loin derrière moi, mon camarade aborda la question du club de Duel.

« En effet je serais encore une fois au club de Duel. Et oui je suis au courant. Mais je ne connais pas son remplaçant, je n’ai pas cours de Duel. Toi tu dois forcément le connaitre, je crois que tu as cette matière. Et puis c’est ton Directeur de Maison. Mais c’est vrai que c’est con Hopkins qui se barre en mission en pleine année scolaire. »

Soupirant, je m’allongeais à mon tour dans l’herbe pour regarder les nuages passés.

« A mon avis ça va être la Forêt Interdite en club de Duel. Entre toi, le Serdaigle et le Gryffondor, ça va être explosif. Et sans Hopkins pour contrôler tout ça, il suffit que son remplaçant ne sache pas vous gérer et cela ne va pas être très productif. »

Je tournais la tête vers lui pour recueillir son avis sur le sujet.

J’ai le plaisir d’entendre Lancelot rire à ma remarque sur le club de Duel, signe qu’il trouvait lui aussi la situation amusante avant de me confirmer qu’il ne ferait pas de vague car il tenait à faire une bonne impression. C’est vrai que Monsieur voulait être commentateur sportif, que ça soit sorcier ou moldu. Et Hastein, du fait de son passif de duelliste, devait en connaitre un rayon. Forcément qu’il allait lui faire une lettre de recommandation.

« Tu as déjà des pistes de commentateur ou pas ? Et à ton avis, moi aussi je dois demander au professeur Hastein une lettre pour devenir Auror ou pas. En vrai, j’aurais tellement adoré suivre ce cours, mais je ne pouvais pas, cela m’agace. Toutes les matières sont géniales, pourquoi on doit choisir. Bref, ce n’est pas le sujet. A qui est ce que je peux demander pour ma lettre… »

Je me tus pour réfléchir à la question, cherchant qui pouvait m’aider. Et je ne voyais que deux professeurs qui pouvaient le faire, celui de Défense contre les Forces du Mal et celui contre la magie noire. C’était deux matières que j’avais dans mon cursus donc je ne devrais pas avoir trop de problème.

« Mais bon, je ne vais pas m’en soucier maintenant alors que la rentrée commence tout juste. Et puis je ne suis pas encore à me poser cette question, j’ai du temps, pas vrai ? »

Allongée, je regardais les nuages qui passaient dans le ciel, cherchant à y deviner des formes comme le font tous les enfants, même si je ne suis plus une enfant.

Je ne pus m’empêcher de sourire devant la réaction de Lancelot quand je me trompais sur son futur métier. Je n’allais pas dire que je l’avais fait exprès, car cela n’était pas du tout le cas, mais le fait qu’il tienne vraiment à ce principe de journaliste au point de me reprendre était assez rigolo, surtout sa moue faussement vexée.
Allongée dans l’herbe, je réfléchissais à qui pourrait m’aider à entrer dans le monde des Aurors et Lancelot sembla penser la même chose que moi car il me conseilla de me tourner vers le Professeur Hopkins quand il repointerait le bout de son nez, autant dire je ne savais pas quand. En soupirant d’avance, je regardais mon camarade se redresser en grimaçant. Je ne pus pas retenir ma remarque.

« Tu sais papi, ce n’est plus de ton âge de s’allonger dans l’herbe. Tu l’as mis où ton déambulateur, je vais aller te le chercher. Va pas nous casser un os en tombant. »

Je retrouve mon sérieux quand il me parle de sa nostalgie des années passés, où il n’avait pas à tant s’inquiéter. En le voyant si triste, je me relevais et me rapprocha dans son dos pour lui faire un énorme câlin. Le serrant de toute mes forces, je murmurais, comme pour le rassurer.

« Tu sais, c’est connu que les années Poudlard sont nos meilleures années. Moi aussi je serais nostalgique à ta place. Et puis je suis déjà nostalgique de ne plus voir ta tête de con à partir de l’année prochaine, c’est pour dire. »

M’écartant, je lui fis mon plus grands sourire avant de prendre mes affaires et commencer à fuir. Je sentais qu’il allait me faire payer mes dernières remarques, et je m’en réjouissais si cela le permettait de ne plus être triste.