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Une histoire exquise

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle? En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf...

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle? En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées...

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle? En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées, mais bon ce jeu de toute façon...

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle?

En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées, mais bon ce jeu de toute façon n'est surveillé par personne, donc...

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle?

En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées, mais bon ce jeu de toute façon n'est surveillé par personne, donc on peut raconter n'importe quoi, comme...

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle?

En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées, mais bon ce jeu de toute façon n'est surveillé par personne, donc on peut raconter n'importe quoi, comme j'ai mangé des gauffres de matin.

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle?

En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées, mais bon ce jeu de toute façon n'est surveillé par personne, donc on peut raconter n'importe quoi, comme j'ai mangé des gauffres de matin. Ah moi c'est plutôt fruit, yaourt nature et café le matin, et...

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle?

En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées, mais bon ce jeu de toute façon n'est surveillé par personne, donc on peut raconter n'importe quoi, comme j'ai mangé des gauffres de matin. Ah moi c'est plutôt fruit, yaourt nature et café le matin, et pourquoi ne pas recommencer ? :

Il était une fois...

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Il était une fois un canard boiteux qui allait aux champs de chrysanthèmes accompagné par son fidèle éleveur de pétoncles. Puisque le canard avait faim, mais qu'il n'y avait rien à manger dans ce champs, l'éleveur de pétoncles, qui s'appelait Fanfan la Tulipe, lui donna une grosse pierre. Cette grosse pierre, qui était en fait un morceau de granite rose à deux micas avait la propriété magique de pouvoir se réduire en poudre. La poussière rosée ainsi obtenue permet à qui la mange de se transformer en ballon dirigeable. Fanfan la Tulipe grimpa donc dans son nouveau Canard-Ballon-Dirigeable, mais pas si dirigeable que ça car il se retrouva bientôt à tourner en rond inutilement au dessus du champs de chrysanthèmes. Heureusement, grâce à une brise qui poussait vers le nord, le Canard gonflé et volant réussi à sortir de son éternel tourment.

Toutefois, il se dirigeait droit vers le pôle nord, et le Père Noël était vraiment reconnu pour aimer faire cuire du canard à l'orange, surtout quand il est boiteux. Heureusement, le canard de Fanfan la Tulipe ne boitant pas (il volait même), les lutins n'arrivèrent pas à l'attraper pour le cuisiner. Sauf qu'après s'être piqué contre un sapin, il se dégonfla doucement, se cassa une patte au sol et devint boiteux. En plus les lutins, qui n'étaient pas loin, avaient repéré ce repas appétissant, et étaient prêts à faire face à l'éleveur de pétoncle pour lui voler son canard. Mais un renne qui passait par là invita Fanfan la Tulipe et son volatile dégonflé à monter sur son dos qui était recouvert de chantilly.

Voilà une occasion rêvée pour le canard boiteux affamé, qui se mit à lécher la crème sucrée. Le problème, c'est que le renne était lui aussi boiteux et se prit les pattes dans une branche ce qui le fit trébucher et rouler sur lui-même. Tout ce beau monde étant finalement recouvert de chantilly et de neige, le mélange était bizarrement appétissant, et le Père Noël débarqua avec ses lutins armés de couteaux. Il se trouvait toutefois que dans la neige, un trou avait été creusé et camouflé pour former un piège dans lequel le renne, le canard et l'éleveur tombèrent. Ravis, le vieux barbu et ses petits barbus entamèrent une danse de la joie de voir leur repas ainsi capturé. Mais le piège conduisait en réalité à un tunnel rempli d'eau. Le canard boiteux, doué en apnée, fut donc le seul à s'en sortir, abandonnant cruellement son maître et le renne derrière.

C'était sans compter sur leurs fantômes qui commencèrent à embêter le canard libre dès le lendemain (après avoir été bouffés, on se rappelle, par le Père Noël). En effet, le canard avait la malédiction d'être encore plus boiteux qu'auparavant depuis la mort de Fanfan. Il était désormais boiteux des deux pattes et n'arrivait donc plus à se sauver du Pôle Nord, sauf en se mettant une rustine pour boucher le trou du ballon dirigeable. Coup de chance, il trouva un peu de caoutchouc et referma l'ouverture, se remettant aussitôt à gonfler. Mais étant dans un tunnel il se cogna durement la tête sur le plafond et perdit connaissance. L'eau le fit dériver longtemps et bientôt, il passa par une cascade, qui était la fin du tunnel. Ce tunnel se jetait en effet dans une fosse septique qui appartenait à Elon Musk.

La chute du canard dans la crotte le réveilla donc avec des idées de génie et entreprit de se fabriquer un voilier marchant à la bouse. Il put ainsi se laisser naviguer enfin pour sortir de son trou. Toutefois le trou se trouva être la sortie de l'atelier du Père Noël, ou plus exactement de ses toilettes. Ainsi, le vieux barbu, assis sur son trône en train de faire la grosse commission se fit pincer le popotin par le bec du canard. Sursautant, il alla frotter son gros derrière et appela les lutins pour qu'ils soignent son bobo sur les fesses. Les lutins, répugnés, donnèrent immédiatement leur démission, ce qui était bien ennuyeux puisque la conséquence serait l'annulation de Noël ou du moins de la distribution en temps et heure. Coupable, le Canard décida d'en rire et entreprit d'aider le Père Noël, oubliant que celui-ci avait voulu le manger. Le père Noel, quant à lui, préparait sa revanche tout en feignant la bonhomie. Il faut dire qu'il avait bien besoin de ce coup de main, mais ce n'était pas pour autant qu'il allait oublier que c'est franchement délicieux, du canard à l'orange. En plus il avait de belles cuisses bien dodues, ce qui, avec un peu de doigté, ferait le repas le plus exquis de Noël. Et Noël, bien sûr, n'est rien sans la fameuse tradition du canard qui boîte jusqu'au four. Parce que, bien entendu, il allait l'abattre et le faire cuire au feu de bois avec plaisir, dès qu'ils auraient terminé d'arranger tout cela.

Malheureusement, le travail de préparation de cadeaux consacra tous ses efforts, et le Père Noël s'écroula de fatigue en oubliant de mettre la casserole au feu. Le canard put ainsi mettre lui-même le feu à la casserole, mais pour faire cuire non pas lui-même en entier, mais bien un somptueux buffet végétarien, parce que bon, manger de la viande, pour un canard, c'est quand même surfait. Du coup, au petit matin alors que le vieux ronflait encore, le canard boiteux rappela les elfes qui, finalement, n'étaient pas vraiment partis et revinrent pour régler leur dernière paie, avec toutes leurs heures supplémentaires. Parce que le père noël, en plus, était complètement à la bourre et surtout mauvais payeur, il leur devait des tonnes d'intérêts. Autant dire qu'en revenant, ils comptaient bien réclamer leurs dus par la force en proposant un bras de fer contre le canard pour régler leurs différents. Oui parce que le canard n'avait que des petites ailes faibles du moins en apparence, car il prenait des super vitamines en secret et du coup en comparaison avec Van Damme il n'avait rien à envier. Par contre fallait pas non plus pousser jusqu'à l'extrême de son endurance, laquelle atteignait le jaune, du coup il perdrait dans deux minutes si l'on considère que 2 minutes font bien plus de tort que de bien.

Bref, toute cette histoire fort ridicule et étrange, mais néanmoins cocasse et pleine de rebondissements, devait bien commencer quelque part, puisque c'est toi qui le dit. Après, moi, personnellement, je pense que ce jeu ridicule est une perte de temps. Mais bon, ça fait de gallions faciles et rapides et c'est ça le plus important, si ce n'est que c'est aussi une excuse pour pas RP. Enfin pour nous pas tant que ça, car on est tout le temps à jour (presque). Et puis bon, hein, en plus le créateur de ce jeu - c'était qui déjà? - Usui qui est parti depuis pfou, bien trop longtemps, et ne manque vraisemblablement à personne. Même s'il ne faut pas le dire trop fort d'un coup que l'on raconte de plus en plus cette histoire loufoque sans vraiment y chercher le moindre sens. En même temps ce n'est pas comme si quelqu'un allait vraiment lire ça. Du coup on pourrait même continuer à écrire des trucs qui ont pas de sens, si le sens était de rigueur au début, maintenant on pourrait aussi se lancer dans des séries de mots sans queue ni tête, comme : ressasser qui est un joli palindrome, et puis des noms de bouffe comme : poutine, choucroute, ratatouille... Et sinon les stylos à quatre couleurs, que tout le monde a essayé d'utilisé les quatre en même temps, ou pas car bon ça saute aux yeux que ça passe pas dans l'trou. Encore qu'avec ceux à 20 couleurs je m'étais essayé aussi, d'un coup que je crois que là ça marche un petit peu en fonction du modèle, et t'as halluciné car non, ça marche pas, mais en fait si, je l'ai déjà fait. Ça devait être un rêve? Non non je m'en rappelle bien, et c'est sûr que t'avais pris de la drogue, mais quand même... Mais non jamais ce n'est pas mon genre du tout, et je ne suis plus certaine de quoi on parle?

En même temps il suffirait de commencer une nouvelle histoire comme ça, de but en blanc en effaçant tout le reste, ou on garde et on fait autre chose, sauf que j'ai plus d'idées, mais bon ce jeu de toute façon n'est surveillé par personne, donc on peut raconter n'importe quoi, comme j'ai mangé des gauffres de matin. Ah moi c'est plutôt fruit, yaourt nature et café le matin, et pourquoi ne pas recommencer ? :

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