ExpelliarmusConnexion
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) Empty[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


Parmi les premières années, il y avait des élèves de talents. La jeune sorcière en à répéter quelques-uns de prometteur. Même s’il était un peu trop jeune pour intégrer l’équipe officiel de leurs maisons, elle espérait pouvoir au cours de cette première année les initier au Quidditch ou même à un autre sport proposer par l’école. C’était une valeur importante pour elle, qu’elle voulait transmettre à ses élèves. Pourtant, même s’il y avait des élèves brillant par leur volonté ou leur talent, il y en a ou c’était tout le contraire. Surtout un, qui dès le premier jour manquait clairement de concentration et pensait que les cours de vol c’était simple.

C’était la troisième fois qu’elle avait se groupe et dès le début elle a dû le recadrer car il faisait le malin. Le jeune garçon l’agaçait au plus au point, répétant a qui voulait l’entendre qu’il rentrerait dés le mois prochain dans l’équipe des Serdaigle. Pourtant parmi ceux du cours, c’est le moins talentueux et le moins discipliné. D’ailleurs, il arrive à l’agacer, alors que le cours n’a commencé que depuis cinq minutes. Il fanfaronne devant une née moldue en extase devant lui en parlant des exploits de son père. Abby ne sait pas ce qu’il l’exaspère le plus, l’incrédulité de la jeune fille ou la bêtise du garçon. La professeure pousse un profond soupire avant de se poster devant eux et le toise de sa hauteur. Elle en profitait un peu, d’être encore un peu plus grande que lui. Après elle faisait un bon mètre soixante-quinze, mais d’ici quelques années, ce petit prétentieux serait plus grand qu’elle.

Pour votre information Monsieur Connord, ce n’est pas parce que ton père a du talent que tu l’as aussi. Pour l’instant tu ne m’as pas impressionné loin de là ! Tu ressembles plus à un singe manchot à faire le guignol.

Les élèves se mirent à rire, alors que le jeune garçon baisse les yeux, l’air furieux. Un sourire satisfait apparait sur les lèvres de la demoiselle aux cheveux violet. Elle l’a vexé et elle doit bien l’avouer cela lui plait bien. Abby n’était pas du genre à faire des courbettes devant les élèves et était plutôt cash dans ses propos. Peut être un peu trop parfois ? Mais là, c’était le début d’année, son but n’était pas de traumatiser ses élèves du moins pas tout de suite.

En tout cas, cette petite remarque a eu l’effet qu’elle voulait. Le cours se déroula dans le plus grand des calmes et la petite vedette resta dans un coin en lui lançant des regards peu sympathiques. Elle n’en avait rien à faire, préférant l’ignorer. Abby préférait se concentrer sur les autres élèves. Les minutes passent et c’est à la fin du cours, alors qu’elle s’occupe d’une jeune fille ayant du mal à positionner ses mains sur son balai, quand un cri se fait entendre derrière elle.

Abby fait volte fasse et voit ses élèves montrer du doigt le jeu garçon debout sur son balai l’air peu rassuré a deux trois mètres au-dessus du sol.

Mais qu’est ce qu’il fait ce con !

Elle se précipite vers lui, bousculant un peu les élèves sur son passage sans se montrer bourrine pour arriver avant la chute inévitable qui se préparait. Malheureusement, elle ne fut pas assez rapide. LA scène fut rapide, mais la demoiselle vit la chute de son élève comme si quelqu’un avait appuyer sur le bouton ralenti d’une télécommande. Le bruit du choc et lourd et elle croit discerner un craquement parmi les cris de ses élèves.

Après deux pas, elle s’agenouille face au garçon en pleure qui se tiens la cheville. Elle soupire en le portant dans ses bras, en faisant bien le minimum syndical pour être douce. Elle n’avait clairement pas envie de jouer les douces et gentille professeure bienveillante pour un casse-couille pareil.

Bon, le cours se termine avec cinq minutes d’avance. J’emmène notre singe acrobate à l’infirmerie et vous comme la journée est finie vous allez dans vos salles communes.

Elle marque une pause voyant les yeux rond et perdus de ses élèves la regarder. Elle hausse le ton pour se montrer un peu moins indulgente.

Toute de suite !

Les élèves se dispersent tout dans la précipitation alors qu’elle se mets a trottiner vers le château avec son blessé dans les bras. On a l’impression que l’exercice est d’une simplicité pour elle. Il faut dire que le garçon est bien léger. Abby ne se doutait pas que c’était un poids plume. D’ailleurs il chouinait dans ses bras, alors qu’ils montèrent les escaliers.

Arrête de te plaindre, tu as de la chance que ce ne soit pas pire !

Clairement, elle n’avait pas envie d’aller à l’infirmerie. A la base, elle avait d’autre projet beaucoup plus intéressant de prévu qu’elle devait repousser à cause d’un crétin. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour atteindre l’étage de l’infirmerie. Quand elle fut devant, elle donna un petit coup de pied pour signaler sa présence à l’infirmier ayant les mains prise.

Hey ! Southman ! C’est Abby, je te ramène du boulot !

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
Maintenant que Diana était officiellement ma fille, j’avais l’impression que ma vie prenait un tout autre tournant. En quelques semaines, j’étais passé de Dandy célibataire à père puis parrain d’un Serpentard. C’était fou quand j’y repensais. J’avais toujours voulu prendre soin des autres mais cela prenait enfin une véritable place dans ma vie. Ce n’était pas facile de devenir père à 46 ans mais encore moins facile de devenir père d’une professeur de potion, âgé de 28 ans, qui depuis la rentrée était également ma collègue. Et ne parlons pas de devenir parrain d’un étudiant, même en dernière année, j’attendais que la directrice me tombe bientôt dessus à ce propos. D’ailleurs en entendant quelqu’un se diriger franchement vers la porte de l'infirmerie, je restais sur mes gardes, croyant que cela pouvait peut-être être elle. Mais je reconnus cette voix. Loin d’être douce, je vous l’accorde. Mais une voix familière d’une collègue qui passait régulièrement dans le coin, enseignant les cours de vol, n’étant pas réputé comme la matière la moins dangereuse enseigné à Poudlard. Surtout quand on avait peu de sens de l’équilibre et peu confiance en soi lors de notre première année au château.

« Hey ! Southman ! C’est Abby, je te ramène du boulot ! » Je poussais un soupir en me levant de ma chaise. Le devoir m'appelait on dirait bien, je n’avais pas le choix. Ni le temps de me morfondre plus longuement sur ma vie privée en solitaire. Elle avait frappé à la porte, mais je ne m'offusquais pas devant ses manières. Je savais qu’elle avait un bon fond, bien que des manières un peu brusque. J’ouvris la porte sur la touffe de cheveux violets familières et ouvrit grand, voyant qu’elle était chargée. « Salut Abby ! Tu es en beauté ce soir.  » Répliquai-je sachant pertinemment qu’elle n’était pas de mauvais poil et que j’en rajouterai avec mes compliments déplacés. « Qu’est-ce que tu m’amènes ? » Elle n’était pas particulièrement tendre avec le jeune homme, j’en déduis qu’il n’avait pas du l’être avec elle non plus. Je fronçais les sourcils en lui demandant de l’installer ici. « Et doucement, Abby ! Ne va pas plus me l’abîmer ! »

Je fis rapidement connaissance avec le jeune garçon qui me parla de sa cheville. Mais je tiquais sur un détail. « Comment est-ce arrivé ? » Le jeune homme se renfrogna et je lui jetais un sort contre la douleur pour qu’il cesse de geindre. Je me tournais vers ma collègue, suspicieux. « Que s’est-il passé au juste ? » J’avais besoin de réponse. Je ne pouvais pas exercer correctement mon travail sans en savoir plus sur les circonstances de cette chute. Je sentais bien l’agacement de la collègue mais je ne pouvais pas lui donner raison… Je posais ma main sur son épaule, pour chercher à attirer son attention et faire redescendre la pression. « Si aucun de vous deux ne me parlent, je peux pas avancer là. » Fis-je d’une voix douce pour clarifier la situation.

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


L’infirmier accueille la demoiselle avec son colis devant sa porte. Tout en a la saluant, il y va de son petit trait d’humour avec un compliment. Même si elle était un peu brute en apparence, la jeune femme appréciait tout de même les compliments. Elle le gratifia d’un sourire, faisant comme si le geignard dans ses bras n’était pas là.

Salut beau gosse, je te remercie. Et tu te laisses pousser le bouc ? Ça te va bien.

Abby suit le mouvement de l’infirmier, qui la guide vers un lit non loin de la porte. Alors qu’elle s’apprêtait à le poser de manière un peu brutale sur le lit, elle fit une petite moue quand Henry la rappela à l’ordre. Elle tourna sa tête vers lui en soupirant. Finalement, avec une délicatesse que peu d’élève lui connaissait, elle installa le garçon sur le lit. Pour ne pas gêner le professionnel, la professeure s’exila un peu plus loin du lit, mais en restant tout de même dans le champ de vision du garçon et de son collègue.

Pendant l’examen son regard vagabondait dans la pièce avant de se poser sur ses mains. Elle se dit qu’elle devrait être s’offrir une séance de manicure ce soir. Sans prêter attention à l’échange ou plutôt l’absence d’échange entre l’infirmier et l’élève, elle fit défiler dans sa tête les nombreuses couleurs qu’elle avait envie de mettre sur ses ongles.

Que s’est-il passé au juste ?

Elle le va la tête brusquement, n’ayant pas entendu la question de son collègue.

Pardon tu disais ?

Si elle restait là, c’était surtout par acquis de conscience, car concrètement elle n’en avait un peu rien à faire de ce qu’avait son élève. Après tout, c’était lui le seul responsable. Abby n’est pas quelqu’un d’égoïste loin de là, mais quand elle estimait qu’une personne ne méritait pas son intérêt, elle le faisait comprendre. Même si c’était un élève, elle se contentait de minimum syndical.

Alors que son collégue reprends la parole, une bride de parole lui revint. Abby posa son regard accusateur sur l’élève, attendant qu’il exprime lui-même ses fabuleux exploits. Aucun son ne sorti sorti de la bouche du jeune garçon qui baissa simplement la tête honteusement. Un petit rire moqueur discret sortie de la bouche de la jeune professeure avant qu’elle ne regarde son comparse.

Et bien Monsieur Connord n’a pas apprécié que je lui signale que malgré sa lignée, il devrait fournir autant d’effort que les autres. Du coup il a voulu jouer au dur et a cru bon de faire des acrobaties sur son balai, alors qu’il est incapable de tenir juste assis dessus.

Elle s’avance pour s’assoir sur le lit voisin du jeune homme toujours en le regardant. Ce n’était plus de l’agacement, mais plutôt de la colère que l’on pouvait voir dans les yeux de la demoiselle.

Tu as bien de la chance que ta blessure ne soit pas plus grave ! Si je te dis d’arrêter de faire l’idiot c’est qu’il y a une raison !


description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
« Salut beau gosse, je te remercie. Et tu te laisses pousser le bouc ? Ça te va bien. »  Elle faisait comme si l’élève qu’elle portait n’était pas là et m’accorda un beau sourire. Je passais ma main sur mon bouc, sensible à son compliment, tout en ne sachant pas trop comment le prendre. « Merci. » Dis-je sobrement avec un petit sourire mais en concentrant mon attention sur ma mission. Alors que je calmais la douleur de l’élève, je m’étais adressée à elle, sans succès.  Abby était plongée dans la contemplation de ses ongles. « Pardon tu disais ? » Je levais les yeux au ciel. Elle était comme ça Abby, surprenante, déroutante et ne s’intéressait qu’aux choses vraiment importantes à ses yeux. Et en l'occurrence, le sort de ce gamin ne l’intéressait pas du tout. J’assistai à une bataille de regard entre les deux et clairement, le premier année n’allait pas assumer sa bêtise. Cela semblait satisfaire la professeure de vol qui ne tarda pas à répondre à ma question. « Et bien Monsieur Connord n’a pas apprécié que je lui signale que malgré sa lignée, il devrait fournir autant d’effort que les autres. Du coup il a voulu jouer au dur et a cru bon de faire des acrobaties sur son balai, alors qu’il est incapable de tenir juste assis dessus. »

J’écoutais attentivement son discours et je ne pus retenir un soupir en me tournant vers le concerner. Ma collègue vint alors s’asseoir sur le lit voisin et ajouta : « Tu as bien de la chance que ta blessure ne soit pas plus grave ! Si je te dis d’arrêter de faire l’idiot c’est qu’il y a une raison ! » J’en rajoutais une couche, sensible à la scène qui se tramait. « Il faut écouter ses professeurs jeune homme. C’est important. » J’acquiesçai et sourit à ma collègue. « Madame Lyod sait cerner ses élèves. Elle ne fait pas de remontrance à la légère. Bon… Je vais remettre cette cheville en état. » Je me rapprochais de l’élève pour voir en détail l’étendue des dégâts. Rien de bien méchant à première vue. Je vais tout de même vérifier quels os sont atteints, la cheville étant plutôt une zone compliquée. Je m’absentai une seconde pour aller chercher une potion, n’étant pas spécialement fan des sortilèges d’attraction. Mes potions étaient précieuses, je n’aurais pas voulu les répandre bêtement sur le plancher.

« Tiens, bois ça. Tu vas ressemblent à un ver luisant pendant quelques minutes, c’est pour observer tes os. C’est parfaitement indolore. » Depuis l’accident de cognard avec Nayla, je faisais plus attention à expliquer ce que faisait les potions que je donnais. Histoire d’éviter les problèmes. Et les surprises surtout. Une fois bue, elle agit en quelques secondes et je fis léviter sa jambe sur un coussin d’air pour ne pas lui faire de mal en l’observant de plus près. Je fus plutôt rassurer par ce que je vis. Il a eu de la chance le bougre. Beaucoup de chance. Qu’un seul os cassé dans cette partie du corps, ça relevait du miracle. « Bon. Y’a vraiment rien de grave, tu as une chance insolente mon petit ! Tu vas même pouvoir remarcher dès ce soir. » Je ne m’avançai pas beaucoup en disant cela. J’étais confiant en mes capacités et j’étais plutôt sûr de mon diagnostique.

Je jetais un coup d’oeil à ma collègue. « Tu veux voir de plus près ? » Ne sachant pas si elle serait vraiment très à l’aise avec l’exercice, moi j’avais l’habitude d’illuminer des gens de l’intérieur pour les transformer en squelette ambulant mais ce n’était pas le cas de tout le monde. Je repris mes mots avec des pincettes. « Ou tu peux aller te préparer un thé, y’a tout ce qu’il faut sur mon bureau, c’est comme tu préfères. » Je lançai un sort de désensibilisation de la zone en m’adressant à mon patient, d’un ton concentré. « Tu ne vas plus rien sentir, c’est une anesthésie locale. Tu n’es pas obligé de regarder si tu n’es pas à l’aise. » Et je pris une grande inspiration et fit de mon mieux pour contrôler mes tremblements en utilisant ma baguette directement sur l’os dans un défi de précision. Une lumière violette rayonna sur les os illuminés et dans un petit “clouc” les os se ressoudèrent.

C’était très facile quand la blessure était si nette et dans un endroit accessible. Quand plusieurs os étaient touchés, il y avait des risques que la magie n’agissent pas au mieux et face de mauvaises réparations, il fallait donc combinés les potions, faire une opération magique plus approfondi et porter une attelle le temps que le corps se remette. Là, je pouvais lui rendre une cheville toute neuve en deux en trois mouvements. Cela ne m’arrivait pas tous les jours. Après avoir passé plusieurs secondes à observer ce qui se passait, je rompis mes sorts d’un geste et rattrapait sa cheville un peu brutalement juste avant qu’elle ne retombe sur le lit. L’élève eut un petit cri de surprise en me voyant faire et je lui demandais avec un franc sourire. « Tu n’as plus mal n’est-ce pas ? » Il secoua négativement la tête et mon travail pouvait s’arrêter là.

Je passais encore une ou deux minutes avec l’élève pour lui donner un onguent pour les petites blessures qu’ils s’étaient faites pendant sa chute et il put remarcher tout à fait normalement et quitter l’infirmerie avec la promesse de revenir s’il sentait la moindre douleur. Il était bien sûr interdit de balai pour les deux prochaines semaines, ainsi que de sport pour éviter que l’os ne se refragilise. « Voilà une affaire rondement menée ! » M’exclamai-je en rejoignant ma collègue qui n’était pas encore partie. « Tu ne m’avais pas encore amené d’élèves depuis le début de l’année… Je commençai à m’inquiéter. » Lui lançai-je avec un sourire moqueur pour entamer la conversation. « Les vacances ont été bonnes ? »

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


Entendre mon collègue m’appuyer face à cet élève ombu de lui-même, me rassure. Ma légitimité est d’autant plus importante quand a le même discours. Un sourire narquois aux lèvres, j’observe la scène d’Henry soignant le jeune garçon. Je m’efforce de ne pas me concentrer sur autres chose au cas ou s’il m’interpelle comme une fois. Même si je ne me soucie que très peu de ce que peu avoir le jeune garçon, ce n’est pas correcte pour mon collègue. Après, il faut bien que je l’avoue ça ne me fait pas plaisir non plus de le voir « souffrir », même si je pense qu’il en rajoute une bonne couche. D’un côté, ça lui apprendra à ne pas écouter ce que je dis et à se croire plus puissant parce qu’on a un papa important.

Tiens, bois ça. Tu vas ressemblent à un ver luisant pendant quelques minutes, c’est pour observer tes os. C’est parfaitement indolore.

Je pouffe de rire en regardant mon élève qui n’a par l’air rassuré de la nouvelle.

Toi qui voulais briller devant tes camarades, tu es servie.

J’apprécie ma petite blague et en rigole. Mais à en croire le regard que le garçon me lance, il n’apprécie pas mon humour. Je hausse les épaules trouvant qu’il est bien ennuyeux. Je croise les jambes en attendant que mon collègue fasse des miracles. Finalement, je m’ennuie. J’admire Henry qui a la patience de soigner les petits bobos de tout Poudlard. Ce n’est vraiment pas mon truc de faire preuve de douceur et surtout de connaitre toutes ses potions et sortilège. Ça n’a jamais vraiment été mon truc, même à l’époque de mes études. Je vois Henry se retourner vers moi et me proposer de voir un peu sa magie opérée. Un sourire plus qu’intéressé sur les lèvres, je m’avance vers lui.

Mais grave ! Je veux voir les os de mon petit Connord briller !

Il me prose aussi d’aller boire un thé en attendant. Je fixe la cheville du garçon et fait signe de poursuivre ce qu’il avait l’intention de faire.

Ouais ouais si tu veux après !

Toute mon attention est fixée sur la jambe de l’élève qui n’était pas très rassuré. J’essaye de me souvenir de l’époque où j’avais son âge si j’aurais eu peur aussi. Un voile triste passe devant les yeux en repensant à la période de la guerre. Finalement ce n’était pas forcément une bonne idée. Je finis par regarder le visage de mon élève, faisant preuve de compassion pour lui, pour la première fois depuis que je l’ai déposé dans ce lit. Je suis mine de rien soulager, qu’il n’est pas à vivre cette période d’angoisse. Je soupire et me redresse pour partir finalement vers le bureau de mon collègue pour me servir une tasse de thé. Je préfère les laisser seul, après tout cela ne me regarde pas. Cela ne dure pas longtemps, car je ne suis même pas à la moitié de ma tasse qu’il finit par se redresser et je peux voir le jeune garçon sur ses deux pieds. Il marche de manière assez bizarre, un peu en crabe. Comme s’il avait peur de se bruler. Cela me faisait bien rire. Henry l’invita finalement à quitter la pièce et avant qu’il ne parte, je l’interpelle.

Du coup on se revoit dans deux semaines Connord, profite de tes « vacances ».

Je fais des guillemets avec mes doigts en le narguant d’un sourire. Il déglutit en hochant la tête avant de disparaitre. Je ricane un peu avant de me tournée vers Henry, qui s’adresse à moi pour lui sourire de toutes mes dents blanches en lui servant une tasse de thé.

Ecoute j’essaye de faire bonne impression les premières semaines quand même. Je ne vais pas leurs faire peur tout de suite.

Je m’assois sur son bureau, trouvant cela plus confortable qu’une chaise. Et au moins, je gagne quelques centimètres face à l’homme devant moi. Je sirote mon thé en haussant les épaules.

Rien de bien particulier, j’ai passé l’été avec ma nièce. Elle entre au lycée cette année. Et toi ? J’ai entendu dire que le début d’année a été mouvementé pour toi ?

Et oui, les nouvelles vont vites dans les couloirs de l’école. Entre Peeves avec ses rumeurs débiles et les bruits de couloirs des élèves. Il ne faut pas se voiler la face non plus, les professeurs aussi aimaient les rumeurs. Que cela concerne leurs élèves ou les professeurs. Je pose ma tasse à côté de moi avant de m’adresser à lui.

Tu sais que je connais bien Diana ! honnêtement, je me doutais pas du tout que c’était ta fille. Elle te ressemble pas du tout.


description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
Abby était un vraie phénomène. Elle avait l’air heureuse que j’appuie son autorité. Je lui adressais un regard pour dire : “ C’est normal entre collègue non ? “ Même si je n’approuvais pas forcément les moqueries qu’elle réitérait à notre jeune blessé alors qu’il allait boire sa potion de scan. « Toi qui voulais briller devant tes camarades, tu es servie. » Le jeune ne rappliqua pas à sa remarque et elle se retrouva à rire toute seule car je fis de mon mieux pour me contenir. Ce n’était pas très pédagogue, mais je lui en parlerais plus tard. Ou peut-être pas. A chacun son métier après tout ? Quand je lui proposais de venir voir en détail, son enthousiasme était beau à voir. « Mais grave ! Je veux voir les os de mon petit Connord briller ! » Je ne croisais pas toujours des gens si intéressé par mes examens médicaux, je ne pus retenir mon sourire approbateur. Elle examina la cheville sous toutes les coutures, comme une enfant curieuse et j’aurais presque pu lui faire une petite tape sur la main parce qu’elle aurait eu envie de toucher. C’était l’image que j’en avais sur le moment. Et en pensant à un comportement de petite fille, je fus obligé de penser à Diana. Est-ce qu’elle allait mieux après notre discussion ? Ma collègue finit par s’éloigner pour aller prendre un thé comme proposé et je pus terminer mon opération tranquillement.

Il marchait en crabe, il avait peur de se faire mal et je pouvais le comprendre. Quand je l’encourageai à partir après lui avoir donné sa dispense de sport, elle glissa un petit sarcasme à son intention : « Du coup on se revoit dans deux semaines Connord, profite de tes « vacances ». » En la regardant faire, je ne pus cacher un sourire amusé. Quand il fut sorti, j’avais presque envie de pousser un soupir de soulagement. La situation n’était pas facile à gérer avec une Abby à côté, je devais l’admettre. J’étais donc allé me servir un café tout en lançant la conversation.  Sa réplique à ma pique ravive mon sourire alors que je vois mes premières gorgées de café brûlante. « Ecoute j’essaye de faire bonne impression les premières semaines quand même. Je ne vais pas leurs faire peur tout de suite. » En la voyant se déplacer de la chaise pour s’asseoir sur mon bureau, je ne pus m’empêcher de détailler ses longues jambes et ses courbes tout à fait flatteuse. Elle était belle la professeure de vol. Et elle en était parfaitement consciente.

« Rien de bien particulier, j’ai passé l’été avec ma nièce. Elle entre au lycée cette année. Et toi ? J’ai entendu dire que le début d’année a été mouvementé pour toi ? » Je haussai les épaules en me rapprochant du bureau, posant mon café sur la table et revenant écarter ma chaise pour m’asseoir un peu plus loin que d’ordinaire pour ne pas non plus avoir les yeux sur ses genoux. « Que ça grandit vite… C’est bien de passer du temps en famille. » Elle posa à son tour sa tasse et se pencha vers moi pour approfondir son propos.  « Tu sais que je connais bien Diana ! Honnêtement, je me doutais pas du tout que c’était ta fille. Elle te ressemble pas du tout. » Les nouvelles allaient vites. Je n’étais pas surpris qu’elle soit déjà au courant. Elle raffolait des rumeurs. Et moi aussi. C’était pour ça qu’on passait régulièrement du temps ensemble à l’infirmerie depuis qu’on se connaissait elle et moi. Seulement c’était bien la première fois que j’en faisais l’objet.

« Oui vous avez une passion commune toutes les deux. C’est normal qu’on ne se ressemble pas. Enfin, elle a beaucoup pris de sa mère et a été élevé par elle, ça ne doit pas aider non plus... » Tentai-je de répondre avec un air détaché. Ce n’était pas vrai, cette histoire me touchait de plein fouet. Et entre Lancelot qui soupçonnait notre ressemblance dans notre démarche sans rien savoir et Abby qui en a la confirmation mais qui ne voit aucune ressemblance, je me dis que vraiment les gens voient ce qu’ils veulent et que ce n’était pas très grave. « J’étais un gosse Abby. Je l’ai appris alors que j’avais quitté Poudlard depuis six ans, que la guerre avait éclaté et que je vivais à New-York chez mon père pour devenir prof de philosophie… Et encore… je n’étais sûr de rien, cela pouvait très bien être une coïncidence et que je ne sois pas son père. J’ai cherché longtemps et fuit beaucoup aussi. Le hasard nous a réuni aujourd’hui et je fais de mon mieux pour apprendre à la connaître maintenant mais tu dois certainement en savoir plus sur elle que moi… qui suis… son père. »

Je repris ma tasse de café pour la finir cul-sec et faire taire la boule dans ma gorge qui venait de se former en avouant ceci. Je n’étais pas là pour me résigner sur mon sort. Cette situation n’était pas facile, c’était vrai. Mais j’avais une fille qui comptait sur moi désormais. Et plus jamais, je ne supporterais de la décevoir. « Devenir père d’une jeune femme de 28 ans, ça parait aussi compliqué que ça l’est vraiment. Je suis… un peu perdu j’dois dire. Mais je fais de mon mieux et on va créer cette relation ensemble. » Je lui offris un sourire et tentai de reprendre confiance en moi. « Y’a rien de banal dans cette histoire c’est sûr ! Je n’aurais jamais cru faire l’objet des potins de Poudlard un jour… Comme quoi… tout arrive ! » Je contemplai ma tasse vide à regret. « Ce serait plus l’heure de l’apéritif que du thé. On a deux trois trucs à se raconter toi et moi ? Si tu veux, tu peux rester un peu ou on fera ça une prochaine fois ? » Je contemplai ses yeux violet dont la beauté me fascinaient complètement, attendant sa réponse.

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


Il ne faut pas longtemps à l’infirmier pour réagir à mes propos. J’ai peut-être été un peu brute de décoffrage non ? J’aurais sans doute dû amener le sujet avec plus de délicatesse. Bien souvent je ne réfléchis pas avant de parler et ça me porte souvent défaut. Pourtant, j’essaye de faire des efforts, surtout face à mes élèves. Je m’apprête à m’excuser de mon indiscrétion, quand il commence à me raconter sa vie, que je connais déjà un peu.

J’étais un gosse Abby. Je l’ai appris alors que j’avais quitté Poudlard depuis six ans, que la guerre avait éclaté et que je vivais à New-York chez mon père pour devenir prof de philosophie… Et encore… je n’étais sûr de rien, cela pouvait très bien être une coïncidence et que je ne sois pas son père. J’ai cherché longtemps et fuit beaucoup aussi. Le hasard nous a réuni aujourd’hui et je fais de mon mieux pour apprendre à la connaître maintenant mais tu dois certainement en savoir plus sur elle que moi… qui suis… son père.

Je regarde le fond de ma tasse en l’écoutant. Je ne me doutais pas qu’il se passait autant de chose dans sa tête à celui-là. J’essaye de réfléchir un moment, si j’étais un homme que je j’apprenais que ma copine de l’école était enceinte, qu’est-ce que je ferais ? Concrètement, je pense que j’aurais la même. Je me serais enfermé dans le déni le plus complet et aurait poursuivit ma vie. Je repense à ma résolution première quand j’ai quitté mon équipe il y a quatre ans. Je voulais me poser et construire une famille. Pourtant aujourd’hui, je suis au même point, seule et sans mouflé dans les bras. Je ne suis pas malheureuse, mais je me pose beaucoup de question.

Devenir père d’une jeune femme de 28 ans, ça parait aussi compliqué que ça l’est vraiment. Je suis… un peu perdu j’dois dire. Mais je fais de mon mieux et on va créer cette relation ensemble. Y’a rien de banal dans cette histoire c’est sûr ! Je n’aurais jamais cru faire l’objet des potins de Poudlard un jour… Comme quoi… tout arrive !


Je sors de ma rêverie et fixe son petit bouc, alors qu’il me propose de rester un peu plus longtemps pour discuter et boire un truc un peu plus fort. Je lui offre un sourire ravi en posant ma tasse à coté de moi.

C’est tout ce que je te souhaite mon grand en tout cas ! C’est une chouette fille Diana, elle doit quand même tenir un peu de toi.

Je lui accorde un clin d’œil avant de m’étirer toujours installer sur son bureau, comme si j’étais chez moi.

Ecoute tu me proposes quoi à boire ? Tout en étant raisonnable bien sûr ! Par contre je me permets juste une petite chose.

Je descends enfin du bureau et sort ma baguette d’une poche le long de ma cuisse. D’un petit mouvement de main, je la fais bouger dans les airs, sans rien dire avant de la remettre à sa place. Je m’installe sur une chaise libre prenant appuie sur son bureau, alors qu’une trousse énorme apparait en face de moi. Je me frotte les mains, contente d’avoir réussi mon tour avant de l’ouvrir et de commencer en fouiller dedans, sortant quelques pots de vernis. Je sens le regard d’Henry sur moi et je me retourne vers lui.

Ben quoi ? J’avais des projets moi Monsieur.

Je jette un coup d’œil à ma trousse de maquillage avant de le regarder à nouveau.

Projet peu intéressant je te l’accorde mais un projet quand même. Tu veux rire un peu et que je te face belle ?

Un sourire plein de malice, je lui montre un pot d’un bleu pale qui je suis sûr, ferait ressortir ses yeux.


description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
Je ne savais pas vraiment si Abby m’écoutait. J’ai l’impression qu’elle fixait mon bouc. Je passais encore une fois ma main dessus, sans trop savoir quoi en penser. A ma proposition, elle finit par réagir. « C’est tout ce que je te souhaite mon grand en tout cas ! C’est une chouette fille Diana, elle doit quand même tenir un peu de toi. » J’affichai un sourire heureux et acquiesçai. « C’est certain. » Elle me répondit par un clin d’oeil et s’étira comme un chat super à l’aise sur mon bureau. Et auquel je n’étais pas allergique… Un pure bonheur. « Ecoute tu me proposes quoi à boire ? Tout en étant raisonnable bien sûr ! Par contre je me permets juste une petite chose. » Tout en réfléchissant à ce qui me restait dans mes stocks, je répondis tout à me dirigeant vers la Réserve. « Fais comme chez toi ! » C’était déjà le cas de toute façon non ? Je revins quelques secondes plus tard avec du jus de citrouille épicé, un mini fus de bièraubeurre sous le bras et ma fidèle bouteille de Whisky Pur Feu.

Je revins et déposai tout sur le bureau avant de voir ce qu’elle était en train de faire. Sortir sa trousse de manucure ? Franchement ? Je ne m’y attendais pas du tout et je la fixai quelque instant. « Ben quoi ? J’avais des projets moi Monsieur. » Je me retins de rire trop brutalement, je ne voulais pas qu’elle le prenne mal. « Projet peu intéressant je te l’accorde mais un projet quand même. Tu veux rire un peu et que je te fasse belle ? » Je me mis à rire franchement en agitant les mains pour signifier mon refus. « Haha tu fais ce que tu veux ma belle mais laisse-moi en dehors de tout ça d’accord ? » Je lui présente mes trois breuvages en souriant. « Le verre de Whisky c’est plutôt pour le soir d’habitude mais tu peux prendre ce qui te fais plaisir sans soucis. » Je lui servis ce qu’elle m’avait demandé et pris une bièraubeurre maison de mon côté avant de m’asseoir à mon bureau.

« Puisqu’on est dans les potins, restons-y. Soren Hastein. Tu penses quoi de lui ?  » Je n’ai pas besoin de me manucurer ou de me maquiller pour être une commère. Le commérage, ça n’a pas de sexe. « Il ne me dit rien qui vaille. Surtout sur ce qu’on dit à propos de Diana et lui. » Et quitte à parler de potins. « Et alors, ton diagnostique sur les équipes de Quidditch ? Gryffondor a l’air bien partie non ? Quelle drôle d’idée de nominer la petite Huang à Serdaigle. Tu crois qu’elle a les épaules ? Elle joue bien mais de là à entraîner son équipe avec elle... » Je commença à boire en la regardant faire. C’était minutieux comme travail. Au moins autant que de recoudre des plaies j’imagine ? Pourquoi je pensais à ça moi ?

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


Alors qu’il décline mon invitation à peindre ses ongles, je range donc le vernis bleu pour en prendre un rose fuchsia. Je l’ouvre et une odeur forte sent dégage. Je me mets donc à l’aise, pendant qu’il va chercher ses trésors et les posent devant moi. Je m’applique sur mon premier ongle et regarde du coin de l’œil ce qu’il a à me proposer. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour me décider. D’un coup de pinceau, je lui montre mon choix.

Un jus de citrouille garçon s’il vous plait !

Je prends une voix grave, pour faire comme si j’étais un homme balèse. Mais ma tentative est un échec et je tousse m’étouffant à moitié. Je lui souris un peu bêtement avant de retourner à mon œuvre. Je ne suis pas de nature calme et douce, mais quand il s’agit de faire mes ongles, je suis capable d’être d’une grande précision. C’est comme les jeunes, c’est quand cela m’arrange. En tout cas, il ne faut pas longtemps à mon infirmier préféré à lancer un premier sujet de conversation.

Puisqu’on est dans les potins, restons-y. Soren Hastein. Tu penses quoi de lui ?

Je fronce les sourcils en lui jetant un œil. Qu’est ce qu’il me fait là ? Je sens dans sa voix que ce n’est pas juste pour parler potin comme à notre habitude qu’il me pose cette question. Il me donne vite raison, quand il aborde le sujet de sa fille. Maintenant je vais devoir supporter son côté papa poule, super ! en tout cas il essaye de noyer le poisson rapidement pour partir sur les équipes de Quidditch. Il me prend vraiment pour une buse ? Je ne suis pas un gnome. Un profond soupire sort de ma bouche.

Soren ? Pas d’avis sur la question, il est un peu trop coincé pour moi. Ou plutôt avec moi, parce qu’avec Diana ils ont l’air de bien s’entendre. Et je te préviens Henry tu ne vas pas me faire le père relou ! Je te signale qu’elle est majeure et vaccinée, du moins j’espère pour elle.

Je lève les yeux vers lui et lui offre un sourire niais.

Et voit le bon coté des choses, il parait qu’il a putain de baraque. Tu vas passer des vacances tout frais payer mon vieux !

J’essaye de dédramatiser un peu la situation. Parce que sinon il va me faire une crise cardiaque. En tout cas je termine ma main et la secoue pour la faire sécher, alors que je saisi le verre qu’il m’a servi pour en boire une gorgée. Le liquide coule dans ma gorge et me fait beaucoup de bien. Cela fait plaisir de boire un coup avec lui. En tout cas pour le dérider un peu, je poursuis pour repondre a ses questions.

Il est trop tôt pour le savoir. Les serdaigle on un nouvel élève dans leur équipe il peut réserver bien des surprises. Et je ne m’inquiète pas trop pour la petite Chizu. Justement ça va lui apprendre à se canaliser un peu. Il faut savoir ne pas s’éparpiller quand on mène une équipe.

J’étais convaincu de mes propos. Il pouvait voir la lueur briller de la passion dans mon regard. Quand je parlais de Quidditch, j’étais vraiment une autre personne. Cela était plutôt reposant pour mon entourage de manière générale.

Et sinon, j’ai entendu dire que tu étais devenu parrain du petit Avery ? J’avais peur qu’il tourne mal celui là un moment. En plus qu’il est casé il parait !


description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
Alors que je lui sers son jus de citrouille, une idée me vient. Une idée totalement farfelue. J’ai convaincu Diane de me concocter une potion de polynectar il n’y a pas longtemps. Par simple curiosité. Elle est prête et n’attend plus que moi pour la tester. Être dans le corps de quelqu’un d’autre, c’est une expérience philosophique intéressante même si on ne parle que de changer d’apparence, à l’image d’un animagus ou d’un métamorphe. Je me sers un whishy pur feu, pour me donner du courage pour aller au bout de mon idée farfelu. Elle paraît décontenancée en me parlant du professeur de duel. « Soren ? Pas d’avis sur la question, il est un peu trop coincé pour moi. Ou plutôt avec moi, parce qu’avec Diana ils ont l’air de bien s’entendre. Et je te préviens Henry tu ne vas pas me faire le père relou ! Je te signale qu’elle est majeure et vaccinée, du moins j’espère pour elle. » Je ne suis pas étonné. Je hausse les épaules et viens trinquer avec elle avant de boire le fond de mon verre cul sec. Elle lève les yeux au ciel avant de m’offrir un sourire niais. « Et voit le bon coté des choses, il parait qu’il a putain de baraque. Tu vas passer des vacances tout frais payer mon vieux ! »

Là mon regard est mauvais. Elle est sérieuse ? J’éclate de rire pour détendre l'atmosphère. « Mouais… Si on veut. Mon petit appartement new-yorkais est cosy aussi tu sais ? Je me fiche des palaces. Je ne suis pas une princesse comme toi.  » Elle secoue sa main pour faire… sécher le verni plus vite j’imagine ? Et commence à boire son jus. Elle reprend mes questions sur le Quidditch. « Il est trop tôt pour le savoir. Les serdaigle on un nouvel élève dans leur équipe il peut réserver bien des surprises. Et je ne m’inquiète pas trop pour la petite Chizu. Justement ça va lui apprendre à se canaliser un peu. Il faut savoir ne pas s’éparpiller quand on mène une équipe. » J'acquiesce, elle n’avait pas tord. Elle avait beaucoup de qualité mais elle n’est pas très responsable… Quand elle m’a ramené James évanouit qui l’a sauvé de la forêt interdite… Je me dis que finalement ce rôle de Capitaine est essentielle pour cette jeune femme en devenir. Elle ne peut plus agir comme une enfant si elle veut gagner. Et je suis sûr que Abby a confiance en elle et sait l’épauler.

« Et sinon, j’ai entendu dire que tu étais devenu parrain du petit Avery ? J’avais peur qu’il tourne mal celui là un moment. En plus qu’il est casé il parait ! » Je lui fais un beau sourire en repensant à cela. « Oui, c’est vrai. On est proche tous les deux depuis longtemps. J’avais envie de marquer le coup... » Casé ? Mon petit Lancelot… Hm… Cette idée me tourne dans la tête mais j’ai trop envie de lui faire ma surprise. Je me lève soudainement au milieu de ma phrase. « Si tu veux vraiment me faire les ongles, on peut essayer quelque chose. » Je lui fais un clin d’oeil avant de me diriger vers le lit sur lequel elle était assise tout à l’heure, prélevant un long cheveux fins dont je n’arrive pas vraiment à identifier la couleur puis je la laisse en plan pour me réfugier dans ma réserve. Il y a une chance que ce soit un cheveu à Becky, mon assistante… mais j’aurais juré voir un éclat violet brillé sur ce cheveu. Je le mets dans la potion et la boit. C’est horrible comme goût. Vraiment.

Heureusement que le Whisky m’avait un peu anesthésié la gorge. Cela prend quelque minutes, mes vêtements sont devenu trop grand alors je lance un sort pour les ajuster à ma taille. J’ai toujours ma blouse évidemment, mais je déboutonne ma chemise pour mettre en avant mon décolleté désormais bien garni, réajuste mon jean ainsi que la taille des chaussures pour ne pas trébucher bêtement. Je ressors et sourit à mon amie. « Taadaaaa !  » Je fais avec ma nouvelle fois en me dirigeant vers elle. « Diana a cédé à l’un de mes caprices… On va pouvoir s’amuser maintenant ? » Je lui tends mes nouvelles mains toutes fines pour qu’elle me mette du vernis puis je reprends avec l’intensité de mon regard d’emprunt. « Lancelot ? Casé ? Pourquoi il ne m’a pas encore mis au courant le cachotier... »

HRP : Lancement de dé ! :

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
Le membre 'Henry L. Southman' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Rp' : 1

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


Ma petite blague sur le manoir de vacances de son futur gendre n’a pas l’air de lui plaire, même si il rit. Il faut qu’il se décoince un peu le Henry. Maintenant qu’il a une fille, il va faire son vieux relou. Il faudra que je veille au grain pour pas le laisser faire. Le plains Diana si c’est le cas en tout cas. Je le regarde un peu de travers quand il dit que je suis une princesse. Je pose mon coude sur la table et me désigne du doigt en faisant des cercles.

Tu m’as bien regardé ? Ou tu as vu une princesse qui fait un concours de shot dans un bar en Allemagne ? Je pense pas qu’une princesse se réveille avec une gueule de bois.

Pour appuyer mes propos, je prends mon verre est en bois la moitié. Je fais la petite joueuse certes, mais je me suis calmé depuis que je suis devenue professeur. Après tout je dois montrer l’exemple aux élèves. C’est surtout que je me fais un peu vieille mine de rien, je n’ai plus une aussi bonne descente qu’avant. Je soupire un peu en repensant à mes nuits blanches. J’ai essayé d’en faire une cet été. Il m’a fallut trois jours pour m’en remettre. En tout cas, quand je parle de Lancelot, son visage s’illumine. Je suis contente de le voir sourire. Pourtant il ne s’étale pas plus sur le sujet. Il va vers le lit où j’étais installée tout à l’heure avant de disparaitre dans sa réserve. Qu’est ce qu’il me fait ? S’ayez, il est devenu incontinent et il ne peut pas se retenir après un verre ? Je lève les yeux au ciel avant de regarder ma main sans vernis et commence à la décorer.

Je termine mon verre et c’est à ce moment-là, que je me vois apparaitre sortir de la réserve. Je recrache le contenue de mon verre devant moi avant d’éclater de rire et d’admirer Henry version moi. Je me lève pour prendre ses mains dans les miennes et le regarde de haut en bas.

Mais je suis vachement bien foutu enfaite. Henry, je pense que t’a jamais été aussi sexy.

Je soulève mes sourcils comme un gros lourd en manque avant de rire aux l’éclats et de l’inviter à s’installer en face de moi. Je prends une de ses mains entres mes doigts et regarde mes différents pots pour savoir quelle couleur je vais mettre sur ses fabuleuses mains. D’un côté, c’est normal qu’elle soit belle, c’est les miennes ! Mon choix se porte sur un bleu ciel et je l’écoute me parler donc de son nouveau filleul.

Le connaissant tu sais ce n’est pas voulu. Il est dans sa période d’idylle et il est trop occupé à se bécoter. C’est bien qu’il se pose. J’ai l’impression que c’est du sérieux en plus. Un moment il faisait un peu comme Mister Blake a enchainé les conquêtes. Après il est jeune donc il a bien eu raison de profiter un peu.

Je tire la langue concentrer sur ce que je fais. Je fais un peu une grimace en appliquant la première couche de vernis sur les ongles d’Henry. On dirait que je suis entrain de peindre une œuvre d’art.

En tout cas il a bien de la chance que tu l’es pas lâché ce gamin. C’est un petit con parfois, mais il est attachant.

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
Être dans le corps d'une femme. C'est une expérience étrange et un peu loufoque je dois bien l'avouer. Je n'irais pas jusqu'à dire que je me sens à mon aise. Il ne faut pas exagérer non plus. Je me sens plus petit, plus faible mais plus souple je dirais ? L'équilibre de mon corps n'a plus rien à voir. Et je fais de mon mieux pour ne pas trop loucher sur ma poitrine développée. Abby a toujours été magnifique. Mais déjà que j'occupe une copie de son corps, en sa présence, je ne vais pas abuser non plus sur mes désirs masculins mal placé. Je ne suis pas peu fier du résultat.« Il y a toute sorte de Princesse non ? Qu'est-ce que t'as enseigné Disney enfin ? La princesse gueule de bois n'est juste pas encore sortie, je suis certain qu'elle est caché dans leurs futurs projets.  »  Elle a recraché le contenu de son verre en me voyant. J'invoque un recurvit pour nettoyer les dégâts sans cesser de la fixer avec un demi-sourire satisfait. Qui est le sien habituellement.

Elle se lève pour que nous soyons l'un en face de l'autre. Enfin, l'une en face de l'autre, à la même hauteur pour la première fois. « Mais je suis vachement bien foutu enfaite. Henry, je pense que t’a jamais été aussi sexy. » Je ris. Elle est pas croyable cette femme. Je l'adore. Je ne résiste pas à l'envie de répliquer. « Je veux bien te croire. C’est toi l’experte après tout. »  Je laisse mes nouvelles mains menues dans les siennes et nous nous asseyons l'un en face de l'autre alors que je lui demande de m'en dire plus que Lancelot le cachotier. « Le connaissant tu sais ce n’est pas voulu. Il est dans sa période d’idylle et il est trop occupé à se bécoter. C’est bien qu’il se pose. J’ai l’impression que c’est du sérieux en plus. Un moment il faisait un peu comme Mister Blake a enchainé les conquêtes. Après il est jeune donc il a bien eu raison de profiter un peu. » Je ne peux pas dire le contraire. Je pousse un léger soupir. « C'est un grand garçon après tout. Je ne vais pas m'immiscer dans sa vie amoureuse. Ou si c'est vraiment sérieux, il ne tardera pas à me présenter j'imagine. C'est son choix après tout.  » Se faire peindre les ongles n'est pas si désagréable que ce que j'imaginais. Elle tire la langue et s'applique. Elle a un côté un peu enfantin quand elle fait cela qui me décroche un sourire amusé.

« En tout cas il a bien de la chance que tu l’es pas lâché ce gamin. C’est un petit con parfois, mais il est attachant. » J'acquiesce et sens le poids des cheveux longs et violets suivre le mouvement. « A qui le dis-tu ? C'est mon travail en tant qu'infirmier de veiller sur les élèves. J'avoue qu'avec Avery, j'ai pris ma tâche très à cœur. Mais je ne pense pas avoir fait de mauvais choix ou outrepasser mon rôle. Cela fait partie des risques du métier j'imagine ? »  Je la regarde au travail et je vois mon verre de Whisky à côté qui m'attend, seulement je suis prisonnier pour le moment. « Me voilà toi pour une petite heure. Si tu as des idées farfelues, c'est le moment. Je n'ai pas beaucoup réfléchi avant de faire cela. Mais j'espère que la blague te plaît...  » Je me rends compte que ma voix n'a pas changé et cela doit être très étrange de voir Abby avec ma voix d'ourse. Au moins, ce sera facile pour une personne extérieure de nous différencier j'imagine ? En parlant de personne extérieure... On ne vient pas de frapper à la porte par hasard ?  

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


C’est le sourire aux lèvres que je m’avance dans les couloirs de l’école. Cela fait maintenant deux trois semaines que Hiroshi et moi on a officialisé notre relation. Mes amis ne m’ont jamais vu aussi heureux et aussi peu aussi il faut le dire. Je profite du temps perdu et passe beaucoup de temps avec ma moitié dans mon appartement au village ou dans nos résidences universitaires. J’ai cru entendre des bruits de couloirs sur nous, mais je n’y faisais pas attention à l’époque, ce n’est pas pour le faire maintenant. J’ai eu quelques filles et garçons que je fréquentais qui sont venus le voir, afin de savoir si c’était vrai. La plupart ont bien pris la nouvelle, certains m’ont fait une crise de jalousie. Mais face à mon ignorance de leurs états d’Ames, ils sont tombés de haut. Pourtant, j’ai toujours été clair, mais ils se sont faits de faux espoirs.

En tout cas, il était important pour moi que je montre à Hiroshi ma bonne foi face à notre relation. J’avais une réputation qui fallait que j’efface. Du coup, j’ai un peu délaissé mes amis qui me le font remarquer, surtout Ash qui ne voit pas d’un très bon œil ma relation avec le Gryffondor surtout vu comment cela s’est passé. Mais bon, ça lui passera, surtout quand Eli se sera bouger le cul pour aller lui déclarer sa flamme. Par contre, il y avait une personne a qui je ne l’avais pas encore dit et surtout que je n’avais pas vu depuis un moment. C’était mon parrain Henry. J’étais tellement occupé avec mon joueur de Quidditch préféré, que je n’ai pas donné signe de vie. Et le connaissant, il va croire encore que je l’évite et risque de débouler dans ma chambre. Et cette fois, je préfère éviter, surtout si c’est quand je suis en compagnie de mon petit ami.

En tout cas, je ne mets pas longtemps a arriver devant la porte de son infirmerie qui est fermée. Je frappe avant de tendre l’oreille entendant la voix familière de mon parrain et de quelqu’un d’autre. Je ne reconnais pas la voix et ouvre la porte.

Salur Henry c’est m…oi..putain c’est quoi ce…

Je reste dans l’embrasure de la porte, faisant face à une scène surréaliste. Je vois le professeur Lyod, fait les ongles au professeur Lyod. Je cligne plusieurs fois des yeux afin de comprendre ce qu’il se passe. Je suis loin d’être con, mais, je suis tellement surpris pas la scène que je mets du temps à m’en remettre. Au bout de plusieurs secondes à les dévisager, j’arrive à deviner que Henry est la version qui est entrain de se faire mettre du vernis et que la vraie professeure de vol et celle en face, qui se retient de rire. Physiquement, il n’y a pas photo, mais le maintien est totalement différent. Je reconnais la manière dont à Henry de se tenir qui est beaucoup plus masculine que sa collègue.

Je crois que je dérange pendant votre…euh…vous faite quoi au juste ?

Je hausse les épaules et laisse lourdement mes mains retomber contre mes cuisses continuant de les dévisager. Comment voulez-vous que cette école tourne correctement avec des professeurs comme ça franchement !


description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz

Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai !


Il commence à me parler de « Princesse gueule de bois », cela me fait beaucoup rire et je m’imagine bien tenir ce rôle d’ailleurs. Enfin, avant quand j’étais plus jeune et moins sérieuse. C’est que je dois montrer l’exemple, il parait. Et Il est vrai de quoi j’aurais l’air si mes étudiants me voyaient bourrer à danser la gigue sur le bar des trois balais ? Je pense que mes élèves apprécieront le spectacle, la directrice un peu moins. Et je ne sais pas si cela impressionnera ma belle aux yeux bleus. Pourquoi je pense à elle maintenant moi ? Heureusement, que Henry est là pour le distraire. Alors que nous sommes installées à son bureau, moi entrain de lui mettre du vernis, notre sujet de conversation est les amours de son petit protéger.

C'est un grand garçon après tout. Je ne vais pas m'immiscer dans sa vie amoureuse. Ou si c'est vraiment sérieux, il ne tardera pas à me présenter j'imagine. C'est son choix après tout.

Je cache un rire un peu moqueur. Il a vraiment les paroles d’un papa poule. Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir découvert qu’il avait une fille ou son attachement pour Lancelot. En tout cas entendre la voix de mon ami sortir de ma bouche fine me perturbe un peu. En plus c’est qu’il dit des trucs sérieux, ce qui n’est pas habituel. Enfin si de temps en temps, mais je ne sais pas, là ça me fait bizarre. Il poursuit donc le sujet Lancelot et je peux voir dans mes yeux. Putain ça fait vraiment chelou ! Qu’il est très attaché au moustique. Je ris doucement à ses mots secouant la tête.

Désolé mon lapin mais sur ce coup-là ton histoire de pas outrepasser ton rôle tu t’es foiré. Sinon tu ne serais pas devenu le parrain d’un gamin de 22 ans.

Je le pointe du doigt avec le pinceau de mon vernis, avant de regarder à nouveau ses mains et de le peindre avec application. C’est qu’il faut beaucoup de précision pour ses trucs là mine de rien. Je me demande si quand la potion ne fera plus effet, il aura toujours le vernis d’ailleurs ? Il faut que je reste jusque-là pour le voir c’est obligé. Ma voix se fait plus douce par la suite, attendri par le grand cœur de mon collégue.

Mais tu as bien fait, il avait besoin de toi pour ne pas sombrer.

J’ai vu le petit Avery changé, que ce soit avant, juste après son accident et maintenant. Ce n’est plus la même personne et c’est grâce à la personne en face de moi. Il n’en a peut-être pas conscience, donc je préfère lui dire. Et je sais très bien qu’à l’âge du Serpentard on ne pense pas à dire ce genre de chose.

Me voilà toi pour une petite heure. Si tu as des idées farfelues, c'est le moment. Je n'ai pas beaucoup réfléchi avant de faire cela. Mais j'espère que la blague te plaît...

J’éclate de rire alors que je termine sa main et passe donc à la deuxième. Je le regarde avec un sourire mi moqueur mi espiègle.

Mon lapin…je sais très bien ce que tu veux mater depuis tout à l’heure. Alors si tu veux, fait toi plaisir et mate mon décolleter, tu n’en auras pas l’occasion tous les jours.

Je lui fais un clin d’œil quand nous sommes interrompus par quelqu’un qui frappe à la porte. Je me retourne pour voir entrer justement un Avery sauvage qui à l’air d’avoir vu le monstre du Loc Ness. J’éclaté d’un rire fort, qui raisonne dans toute la pièce me tapant sur le genou.

Mon dieur Avery ! Tu devrais voir ta tête !

description[polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné) EmptyRe: [polynectar] Mais pourquoi tu as voulu te mettre debout sur ton balai! (PV Henry) (Abandonné)

more_horiz
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum