En cette heure matinale, la bibliothèque était pratiquement vide. Quelques élèves, pourtant, allaient et venaient consciencieusement selon les travaux de groupes qu'ils avaient à faire.
L'endroit était calme et studieux et l'on entendait une mouche voler. Seuls les bruits de pas semblaient témoigner de la présence humaine en cet endroit étrange. Les bruits de pas et des chuchotements pressés.
Il était un peu étrange, en effet, que de se retrouver dans un tel endroit car ce n'était pas du tout l'idée qu'elle se faisait des bibliothèques. Là-bas, où elle vivait, ce genre de lieu était pleins de vie et d'échange de connaissances. Le bibliothécaire n'était pas celui qui disait chut, mais une interface pour les différents savoirs.
Loin de juger, mais observatrice, Maze Black se dirigea vers la réserve où elle avait ses entrées.
Très honnêtement, elle avait donné son vrai nom lorsqu'elle avait candidaté ici, se doutant que de toute façon, de rapides recherches suffiraient à éventrer son imposture.
Généralement, ils étaient surpris quand ils entendaient son nom pour la première fois. Les Black étaient une famille de sang-pur, une lignée qu'ils pensaient éteinte. La plupart la pensait alliée avec Sirius Black, elle ne faisait rien pour démentir ces ragots malgré le fait qu'elle le pensait bel et bien traître à son sang.
D'humeur relativement joyeuse, Maze passa la barrière qui la séparait de la réserve, se fit un passage et, comme si elle savait où elle s'était exactement arrêtée, prit un des livres en son sein. Elle avait l'air de bien connaître l'endroit pour y passer la majorité de ses heures, quand elle n'était pas dans son bureau en train de corriger les travaux de ses étudiants ou dans sa salle de classe.
Très heureusement, les tenues des sorciers occidentaux étaient assez couvrantes pour qu'elle puisse cacher la marque sur son bras droit – qui était de manière surprenante très mal vue ici.
Souriante comme un enfant de six ans devant son nouveau jouet, la femme s'empara d'un manuscrit dont la couverture semblait être fait de peau humaine, renifla une bonne odeur de poussière et de colle mélangées, puis l'ouvrit.
Des origines de la magie, des siècles d'invocations.
Elle se plongea dedans et plus rien ne sembla avoir d'importance.
L'endroit était calme et studieux et l'on entendait une mouche voler. Seuls les bruits de pas semblaient témoigner de la présence humaine en cet endroit étrange. Les bruits de pas et des chuchotements pressés.
Il était un peu étrange, en effet, que de se retrouver dans un tel endroit car ce n'était pas du tout l'idée qu'elle se faisait des bibliothèques. Là-bas, où elle vivait, ce genre de lieu était pleins de vie et d'échange de connaissances. Le bibliothécaire n'était pas celui qui disait chut, mais une interface pour les différents savoirs.
Loin de juger, mais observatrice, Maze Black se dirigea vers la réserve où elle avait ses entrées.
Très honnêtement, elle avait donné son vrai nom lorsqu'elle avait candidaté ici, se doutant que de toute façon, de rapides recherches suffiraient à éventrer son imposture.
Généralement, ils étaient surpris quand ils entendaient son nom pour la première fois. Les Black étaient une famille de sang-pur, une lignée qu'ils pensaient éteinte. La plupart la pensait alliée avec Sirius Black, elle ne faisait rien pour démentir ces ragots malgré le fait qu'elle le pensait bel et bien traître à son sang.
D'humeur relativement joyeuse, Maze passa la barrière qui la séparait de la réserve, se fit un passage et, comme si elle savait où elle s'était exactement arrêtée, prit un des livres en son sein. Elle avait l'air de bien connaître l'endroit pour y passer la majorité de ses heures, quand elle n'était pas dans son bureau en train de corriger les travaux de ses étudiants ou dans sa salle de classe.
Très heureusement, les tenues des sorciers occidentaux étaient assez couvrantes pour qu'elle puisse cacher la marque sur son bras droit – qui était de manière surprenante très mal vue ici.
Souriante comme un enfant de six ans devant son nouveau jouet, la femme s'empara d'un manuscrit dont la couverture semblait être fait de peau humaine, renifla une bonne odeur de poussière et de colle mélangées, puis l'ouvrit.
Des origines de la magie, des siècles d'invocations.
Elle se plongea dedans et plus rien ne sembla avoir d'importance.