La question de Lizbeth me trottinait dans la tête. Avoir cicatrisé de cette relation ? Drôle de question. Qu’est-ce que j’avais ressenti quand nous nous sommes revus ? De la joie. Immense. De la voir enfin après toutes ses années. De la retrouver, elle et ses charmantes fossettes. Sa voix douce, ses yeux qui pétillent. Bien sûr, nous avions tous deux changés. C’était bien le cadet de mes soucis. Je finis par me rendre compte que je ne parlais plus du tout donc je refis un instant surface : « Oh désolé je… Je ne sais pas vraiment quoi te répondre en fait. » Moi, ne pas savoir quoi répondre ? Voilà qui était rare. J’avais toujours réponse à tout et toujours un sujet de conversation d’avance sous la main.
« Je crois que je ne connais pas encore la réponse à cette question. Peut-être qu’un verre ou deux me permettront d’y réfléchir ? » Nous voilà à la sortie de Poudlard et nous pouvons dores et déjà transplaner pour arriver plus vite aux trois balais. « Qu’est-ce que tu préfères ? A partir d’ici on peut transplaner. Ou invoquer des balais ou siffler des hippogriffes, ou simplement marcher et ça nous prendra une bonne vingtaine de minutes je dirais. »
Sans vouloir tout de suite paraître trop lourd à lui répliquer encore la même question qu’elle me posait en premier, je pris le temps de retrouver mon sourire et d’ajouter. « C’est un plaisir de parler avec toi. Le faire en volant ou en marchant m’importe peu. Ou si tu as trop soif, la magie peut nous rapprocher plus rapidement de notre objectif. » J’avais toujours des questionnements philosophiques sous la main alors… « Si tu étais née sans pouvoir magique… Qu’est-ce qui serait différent pour toi aujourd’hui ? »
« Je crois que je ne connais pas encore la réponse à cette question. Peut-être qu’un verre ou deux me permettront d’y réfléchir ? » Nous voilà à la sortie de Poudlard et nous pouvons dores et déjà transplaner pour arriver plus vite aux trois balais. « Qu’est-ce que tu préfères ? A partir d’ici on peut transplaner. Ou invoquer des balais ou siffler des hippogriffes, ou simplement marcher et ça nous prendra une bonne vingtaine de minutes je dirais. »
Sans vouloir tout de suite paraître trop lourd à lui répliquer encore la même question qu’elle me posait en premier, je pris le temps de retrouver mon sourire et d’ajouter. « C’est un plaisir de parler avec toi. Le faire en volant ou en marchant m’importe peu. Ou si tu as trop soif, la magie peut nous rapprocher plus rapidement de notre objectif. » J’avais toujours des questionnements philosophiques sous la main alors… « Si tu étais née sans pouvoir magique… Qu’est-ce qui serait différent pour toi aujourd’hui ? »