On était samedi matin, Milla s’était levée très tôt comme à son habitude le week-end, elle s’était préaprée et avait traverser silencieusement le dortoir pour ne pas réveiller ses camarades encore dans les bras de morphée, Derys, le hibou complexé avait décider qu’il n’avait pas envie de venir en ouvrant un œil et le refermant l’air de dire « pas aujourd’hui j’ai pas envie ». Alors elle avait haussé les épaules et était sortie avec son sac sans fond rempli de livres, son balais et des friandises après avoir pris une douche et se maquiller. C’était son rituel le samedi matin, lorsque la rosée du matin était tombé sur le pays humide, et que les hululements des chouettes étaient remplacés par les gazouillis des moineaux et les rires moqueurs des pies rieuses, elle abandonnait ses compatriotes d’études à leur sommeil. Elle soupira en se faufilant hors du bâtiment. Elle avait enfiler une jupe plissée noir, des grosses baskets noirs, et un pull blanc ample qui tombait sur une de ses épaules.
Il ne faisait plus aussi chaud que l’été mais le temps restait doux, et elle aimait regarder le soleil qui se levait derrière les arbre. Elle enfourcha son balais et fila jusqu’au parc qui entourait Poudlard, elle aimait bien venir par ici, en plus le temps était radieux, alors elle se posa, glissant son balais dans son sac sans fond et se mit à déambuler en regardant la nature. Elle avait toujours été plus que fascinée par ce genre de spectacle, voir la nature se réveiller, semaine après semaine, au fil des saisons et des jours rien ne se ressemblait, elle pouvait voir les papillons se lever et butiner les fleurs humides, elle ne croisait jamais personne à cette heure-ci, sauf certains joggeurs matinaux de temps à autres. Alors quand elle aperçut un garçon qui devait avoir un ou deux ans de moins qu’elle, elle n’y prêta pas franchement d’attention. Elle ne l’aurait même pas vu si il n’avait pas porter un sweat bleu flashy et un pantalon rouge.
S’il avait pour projet de se faire charger par un sanglier c’était parfait. Ils se retrouvaient non loin du lac noir il avait dû faire une sacré balade ou course, vu qu’elle ne voyait ni balais ni sac. Enfoncés entre les arbres elle lança un regard curieux.
Si elle avait relevé les yeux sur ses vêtements son comportement lui attisa sa curiosité. Elle contourna un arbre sur lequel elle s’appuya en observant la scène qui se jouait sous ses yeux. Un Hippogriffe, eh bien ! Ce n’était pas si courant d’en croiser aussi près de Poudlard, le spectacle valait le détour, elle resta à bonne distance pour ne pas attirer l’attention et observa l’animal. Le jeune homme s’était incliné. Sauf qu’il n’attendit pas que l’animal réponde, et Milla put constater que cela avait un rapport avec…. Eh bien son aile ensanglanté. Le garçon sans doute empli de bonnes intentions s’avança. La jeune femme dégaina sa baguette à une vitesse prodigieuse lorsque l’animal lâcha un cris d’avertissement en se dressant de toute sa hauteur – plus qu’impressionnante – Soit-dit en passant. Le garçon avait reculer, visiblement conscient de son erreur mais la sorcière avait réagit encore plus vite.
Sommeil Enchanté !
Son cœur avait rater un battement. L’animal s’écroule inerte sur le sol. Elle se précipite en avant jetant son sac sur le chemin pour vérifier que l’animal n’avait pas d’autres blessures en raison de sa chute. Elle lâcha un soupir de soulagement et se retourna avec un regard assassin.
Mais t’es complètement débile ou tu le fais exprès ?! C’est la base des bases ! T’es qui de toute façon ? Vu ta taille t’es à la fac, tu voulais mourir ? Et puis imagine si il s’était encore plus blessé à cause de tes bêtises!
Milla ne s’énervait que très rarement, sa propre réaction la surpris elle-même, elle écarquilla un peu les yeux surprise de sa colère. Elle mit un instant à analyser sa réaction. Il fallait dire qu’elle avait eu très peur, pour le pauvre Hippogriffe, et si elle avait été témoins de la mort d’un élève sans réagir elle aurait eu des problème. Ah bordel c’était quoi son nom déjà ? Elle était persuadée de l’avoir déjà vu, ce qui n’était pas vraiment étonnant ils avaient certainement passer une dizaine d’année sous le même toit. Pourtant impossible de mettre le doigt dessus. Il était grand et costaud. Elle soupira et s’approcha prudemment de l’animal endormi. Il n’était pas vraiment dans une position idéal pour regarder son aile.
Eh viens m’aider l’armoire à glace. Tu voulais soigner son aile non ? Bon bah faut le retourner. Il ne se réveillera pas avant que je le fasse se réveiller. Essaie d’être délicat quand même.
C’était assez ironique, un hippogriffe, de près ou de loin c’est super impressionnant, et délicatesse n’était pas vraiment le terme approprié à un animal aussi massif. Elle se plaça pour le soulever, sauf qu’elle n’était pas vraiment très sportive ni ne possédait une musculature particulièrement impressionnante, alors elle lança un regard de type « bon tu te magnes ou bien ? ». Evidemment, cette première impression ne manquerait pas de laisser un souvenir impérissable dans l’esprit de l’étudiant, elle avait déployer toutes ses capacités de communication les plus déficientes pour cette première approche. Pour ce qui est de la sociabilisation on repassera.
Il ne faisait plus aussi chaud que l’été mais le temps restait doux, et elle aimait regarder le soleil qui se levait derrière les arbre. Elle enfourcha son balais et fila jusqu’au parc qui entourait Poudlard, elle aimait bien venir par ici, en plus le temps était radieux, alors elle se posa, glissant son balais dans son sac sans fond et se mit à déambuler en regardant la nature. Elle avait toujours été plus que fascinée par ce genre de spectacle, voir la nature se réveiller, semaine après semaine, au fil des saisons et des jours rien ne se ressemblait, elle pouvait voir les papillons se lever et butiner les fleurs humides, elle ne croisait jamais personne à cette heure-ci, sauf certains joggeurs matinaux de temps à autres. Alors quand elle aperçut un garçon qui devait avoir un ou deux ans de moins qu’elle, elle n’y prêta pas franchement d’attention. Elle ne l’aurait même pas vu si il n’avait pas porter un sweat bleu flashy et un pantalon rouge.
S’il avait pour projet de se faire charger par un sanglier c’était parfait. Ils se retrouvaient non loin du lac noir il avait dû faire une sacré balade ou course, vu qu’elle ne voyait ni balais ni sac. Enfoncés entre les arbres elle lança un regard curieux.
Si elle avait relevé les yeux sur ses vêtements son comportement lui attisa sa curiosité. Elle contourna un arbre sur lequel elle s’appuya en observant la scène qui se jouait sous ses yeux. Un Hippogriffe, eh bien ! Ce n’était pas si courant d’en croiser aussi près de Poudlard, le spectacle valait le détour, elle resta à bonne distance pour ne pas attirer l’attention et observa l’animal. Le jeune homme s’était incliné. Sauf qu’il n’attendit pas que l’animal réponde, et Milla put constater que cela avait un rapport avec…. Eh bien son aile ensanglanté. Le garçon sans doute empli de bonnes intentions s’avança. La jeune femme dégaina sa baguette à une vitesse prodigieuse lorsque l’animal lâcha un cris d’avertissement en se dressant de toute sa hauteur – plus qu’impressionnante – Soit-dit en passant. Le garçon avait reculer, visiblement conscient de son erreur mais la sorcière avait réagit encore plus vite.
Sommeil Enchanté !
Son cœur avait rater un battement. L’animal s’écroule inerte sur le sol. Elle se précipite en avant jetant son sac sur le chemin pour vérifier que l’animal n’avait pas d’autres blessures en raison de sa chute. Elle lâcha un soupir de soulagement et se retourna avec un regard assassin.
Mais t’es complètement débile ou tu le fais exprès ?! C’est la base des bases ! T’es qui de toute façon ? Vu ta taille t’es à la fac, tu voulais mourir ? Et puis imagine si il s’était encore plus blessé à cause de tes bêtises!
Milla ne s’énervait que très rarement, sa propre réaction la surpris elle-même, elle écarquilla un peu les yeux surprise de sa colère. Elle mit un instant à analyser sa réaction. Il fallait dire qu’elle avait eu très peur, pour le pauvre Hippogriffe, et si elle avait été témoins de la mort d’un élève sans réagir elle aurait eu des problème. Ah bordel c’était quoi son nom déjà ? Elle était persuadée de l’avoir déjà vu, ce qui n’était pas vraiment étonnant ils avaient certainement passer une dizaine d’année sous le même toit. Pourtant impossible de mettre le doigt dessus. Il était grand et costaud. Elle soupira et s’approcha prudemment de l’animal endormi. Il n’était pas vraiment dans une position idéal pour regarder son aile.
Eh viens m’aider l’armoire à glace. Tu voulais soigner son aile non ? Bon bah faut le retourner. Il ne se réveillera pas avant que je le fasse se réveiller. Essaie d’être délicat quand même.
C’était assez ironique, un hippogriffe, de près ou de loin c’est super impressionnant, et délicatesse n’était pas vraiment le terme approprié à un animal aussi massif. Elle se plaça pour le soulever, sauf qu’elle n’était pas vraiment très sportive ni ne possédait une musculature particulièrement impressionnante, alors elle lança un regard de type « bon tu te magnes ou bien ? ». Evidemment, cette première impression ne manquerait pas de laisser un souvenir impérissable dans l’esprit de l’étudiant, elle avait déployer toutes ses capacités de communication les plus déficientes pour cette première approche. Pour ce qui est de la sociabilisation on repassera.