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Milla Ocurancia, 21 ans


Mon identité


Je me nomme Milla Ocurancia et j'ai actuellement 21 ans. J'ai vu le jour dans la charmante ville de Glasgow, le dimanche 25 avril 1999 à 23h58, pour ne pas faire chier le monde du tout.. Mon père étant un sorcier et ma mère une Vélane, je suis donc une déscendante de vélane d'une grande famille. Je suis actuellement Elève à l’université 11e année de cycle en sorts et magie avancées, avec des cours optionnels en botaniques, anatomie et soins aux créatures magies.. Ma baguette est en bois de Hêtre Blanc et son cœur est plume d'oiseaux tonerre elle mesure 31,75cm et est plutôt rigide .



Ma vie


Chapitre I

Toutes les histoires ne commencent pas bien, d’autres, si elles ne commencent pas de la meilleure manière, ont au moins le mérite de ne pas être les pires, pour sa part, Milla n’a pas vraiment pioché le gros lot à la roulette de la vie.

Lorsqu’elle avait ouvert les yeux, on s’était extasié sur la pureté de ses prunelles. Il n’y avait pas, pourtant, vraiment de quoi être étonné. Aphrodite Ocurancia et Eden Ocurancia, les parents de la jeune femme avaient tous deux une apparence très flatteuse, et personne n’avait oublier la nature d’Aphrodite, tout de même il avait été surprenant de découvrir ces grands yeux bleus sur le visage d’un nouveau-né tant ils avaient été profonds. On avait douté que la couleur reste si claire, et pourtant, la teinte n’avait pas changé d’un pouce, et ce même si son regard avait gagné en force et en profondeur, on y voyait le reflet de son âme, on aurait pu s’y noyer, cela avait été un peu dérangeant sur une enfant si jeune.
La jeune fille, en grandissant avait déployé une beauté irréelle, le portrait craché de sa mère, arborant des cheveux d’un bleu qui oscillait avec la lumière entre le gris et le vert d’eau. Elle possédait cependant un regard plus fort peut-être, que la beauté douce de sa mère, chose qu’elle avait certainement prise de son père. En fait, en peignant le tableau de la sorte, personne n’aurait jamais eu à redire sur l’enfance de cette enfant, une famille parfaite en apparence. Les Ocurancia étaient une famille non pas riche à outrance, mais réputée pour engendrer des sorciers plutôt puissants. Pour le coup Milla n’avait pas fait exception en grandissant, mais on y reviendra plus tard.

Si cette belle image de famille semblait parfaite, il ne fallait pas s’approcher de trop pour observer quelques fissures d’où s’échappaient les relents nauséabonds de la folie du couple idyllique.

Un jour d’hiver en 2003, quelques part dans une maison sombre à Glasgow,

L’enfant observait son père. Les yeux écarquillés sur cette personne, car, même du haut de ses quatre ans, elle savait que son père était beau. « Le plus beau papa du monde » Comme disait sa mère avec un sourire doux. Il était assis à son grand bureau en bois massif, il semblait contrarié par quelque chose, mais l’enfant ne voyait pas vraiment ces choses-là, elle regardait son bras. A cet âge-là, on ne fait pas par soi-même la différence entre le bien et le mal, on ne sait que ce qu’on nous dit, et quand elle regardait cette marque sur son avant-bras, elle n’y voyait pas la noirceur juste un serpent noir. Elle ne s’y était jamais vraiment intéressée, elle n’avait que quatre ans, et si on lui avait raconter son histoire dans les grandes lignes, et que finalement rien n’avait jamais été tabou devant elle, la raison pour laquelle ses deux parents arboraient ce signe restaient un mystère. Un mystère qu’il lui fallait élucider. La curiosité lui était innée. Elle marcha jusqu’à son père, qui lui fit un large sourire éclatant.
-Ma chérie !
Il la prit dans ses bras, l’asseyant sur ses genoux. Il portait un t-shirt à manches courtes, qu’il ne portait jamais à l’extérieur et elle posa sa main sur la marque noire.
-C’est quoi ?
Une étincelle, si bien dissimulée habituellement, s’éclaira dans le regard d’un père fier et plein d’espoir. Il l’assit sur le bureau alors qu’elle ne décrochait pas ses yeux de ce tatouage. Oui, un tatouage, c’est ce qu’aurait dû répondre un parent sensé.
- Ceci vois-tu… C’est, après toi, la chose la plus importante au monde pour papa et maman. C’est une personne incroyable, et qui changera le monde, qui nous l’a offerte.
Milla, lève ses yeux vers le visage de son père. Émerveillée par ce qu’elle vient d’entendre. Après tout, qu’y a-t-il de plus incroyable que ça ? Une personne qui changera le monde. Et puis il fallait avouer que Milla adorait les animaux, et les serpents c’est joli.
- C’est une madame ou un Monsieur ?
- Un monsieur mon cœur. Un grand monsieur. Un grand sorcier, le plus grand sorcier.
La jeune enfant semble réfléchir. Elle triture ses petites mains maladroites, ses grands yeux bleus qui fixent par la fenêtre.
- Est-ce qu’il va aider tout le monde ?
- Il rendra le monde meilleur.
La jeune fille regarde le serpent les yeux brillants.
- Est-ce que ce serpent va l’y aider ?
Un rire grave, qui éclaire un visage presque parfait.
- Oui ma puce.
- Alors moi aussi je veux ce serpent.
Le regard de fierté que pose l’homme sur son enfant.
- Tu as tout compris si vite. Papa est fier de toi. Comme tu es intelligente !
La porte s’ouvre sur Aphrodite qui n’avait pas que peu mériter son nom. Elle sourit, apportant le thé.
- Milla tu t’es encore faufilée pour embêter papa.
- Oh non elle ne m’embête jamais tu le sais. Nous parlions du maître et de la marque.
Milla se rengorge de fierté. Son papa est fier d’elle. Elle comprend si vite. Sauf qu’elle n’avait pas compris, car derrière les mots des adultes se cachent souvent des choses plus sombres. Sa mère la prit dans les bras en souriant.
- Elle veut le serpent.
La femme belle comme le jour se fige, et son visage s’éclaire.
- Mais quelle merveilleuse idée !
Ce n’est pas à ses nœuds dans les cheveux, à ses ongles sales, ou à son chaudron de film d’horreur qu’on reconnaît la vraie folie. Dans son cas, Milla aura compris au moins une chose ce jour-là, si ce n’était pas ce qu’était le mal, elle comprit au moins ce qu’était la douleur engendrée par des parents fous lorsqu’on enfonça dans la chaire de son dos une aiguille trempée dans de l’encre noir.

Oh elle avait crié, c’était douloureux à supporter pour un si petit corps, on l’avait tenu, la rassurant de mots doux, lui glissant de tendres baisers sur les deux joues. Mais, elle n’avait pas haï ses parents, après tout, ce serpent aiderait le grand sorcier à faire de ce monde un monde meilleur. Ah qu’elle avait été fière d’arborer sur sa peau d’albâtre cette trace si noir, ce sombre présage dont elle ne savait rien. Pourtant on lui avait interdit de le montrer à qui que ce soit, papa avait dit ces mots si particuliers, qui sonnaient comme une chanson d’amour d’un père à sa fille « Ce sera notre petit secret à nous. » Alors elle n’avait rien dit à personne. Avait continué à vivre comme une enfant de sorcier. Sans sortir cependant. Et cela jusqu’à ce que le ciel commence à s’assombrir pour elle.

Chapitre II

18 avril 2005, dans le jardin derrière la maison de famille.

Sa peau avait picoté sous le soleil, elle regardait les fleurs un livre sur les plantes sur les genoux. Oui Milla était une petite fille intelligente, mais elle était une petite fille, elle avait appris à lire peu de temps auparavant, c’était maman qui lui avait appris avec patience, et elle avait été douée pour ça, assez pour qu’on la félicite avec des choco grenouilles dont elle raffolait. Alors elle observait l’abeille qui butinait la marguerite. Assise dans l’herbe. Elle leva les yeux sur deux silhouettes hautes. Il y avait une dame et un monsieur, la dame avait des cheveux roses, le monsieur une grosse barbe brune.
- Bonjour, tu es Milla n’est-ce pas ?
La petite fille se leva et dépoussiéra sa robe.
- Bonjour. Oui. C’est mon nom.
La femme s’accroupit pour se mettre à sa hauteur, un sourire doux sur les lèvres. La petite était curieuse de savoir pourquoi ce visage doux lui semblait bien plus rassurant que les milliers de baisers dont pouvait la couvrir sa mère.
- Moi c’est Jane, est-ce que tu veux bien m’emmener à tes parents s’ils sont là ?
La petite fille acquiesça, et sans les toucher, les accompagna. Elle put remarquer du coin de l’oeil que d’autre personnes s’approchaient. La jeune fille ouvrit la porte et se mit à crier.
-Papa ! Y’a une dame qui veut vous voir.
Eden descendit, se figea dans l’entrée et cria.
- Aphrodite !
La femme franchit la porte dans un bon, brandissant sa baguette
- Avada Kedavra !
L’homme derrière la petite fille s’écroule. Mort. Ce qui se passa ensuite fut tellement confus que la jeune enfant ne réagit même pas, en fait les visiteurs avaient été surpris par la réaction des Ocurancia, personne n’avait imaginer que cette bataille éclaterait devant une enfant si jeune. Elle observa ses parents se transformer, la vraie folie, la voici, celle qui décompense, qui déforme le visage et les âmes.
- Il reviendra ! Attends-le Milla ! Attends-le !
Eux qui avaient été si beaux, si incroyables, si tendres, les voilà, emmenés par des gens qu’elle ne connaît pas, hurlant d’une fureur qu’elle n’avait jamais vu, qu’elle n’avait pas su comprendre. Et puis le monsieur, il est mort non ? Pourquoi maman aurait fait ça. Elle voulait sauver le monde, le rendre plus beau avec le monsieur au serpent. Elle attrapa la manche de la dame qui s’appelait Jane.
- Pourquoi vous emmenez ma maman et mon papa ?
La dame baissa des yeux d’une tendresse infinie vers l’enfant.
- Ils vont aller à un endroit où ils ne pourront plus faire de mal à personne.
- Mais ils m’ont dit que le maître sorcier au serpent allait sauver le monde. Mon papa et ma maman ils ne font pas de mal aux gens.
Oh il fallut des trésors de patience à cette femme pour expliquer à l’enfant la situation. Finalement Milla toucha l’homme qui était par terre.
- Il est mort pas vrai ?
La femme avala sa salive.
- Oui.
- Et c’est ma maman qui l’a tué. Elle devait être très en colère. Mais ce n’est pas bien.

Ce fut sa première confrontation au bien et au mal. On l’emmena dans un endroit très grand, dont elle ne savait rien. Elle y reconnut sa tante. Briar Ocurancia était une femme grande et belle, la sœur du père de Milla, plus jeune sœur, elle avait à peine vingt-trois ans quand on l’avait informé des agissements de son frère et de sa belle-sœur. Ces derniers avaient pu se cacher des années durant, mais ils avaient pris une place active au côté de Voldemort pendant la guerre, et n’avaient jamais, ça Milla l’avait compris bien plus tard, compris que c’était finis. Alors quand on avait informer Briar de tout ça, sans douter un instant, elle avait demandé à récupérer la garde de l’enfant, sur laquelle elle se jeta à corps perdu quand elle l’aperçut. A ce point, désolée de ne pas avoir pu la protéger, de ne pas avoir vu les gens qu’étaient ses parents tels qu’ils étaient réellement, qu’elle fit tout ce qui était en son pouvoir par la suite pour l’élever dans de bonnes conditions.

Chapitre III

Lorsque Briar avait pu ramener la petite chez elle, Milla n’avait pas prononcé un mot, cherchant à comprendre, sans doute, ce qui s’était déroulé sous ses yeux d’enfant. Elle avait acheté plein de vêtements pour l’enfant et décida de la nettoyer avant d’aller la coucher. Il était vrai que les gens avaient tendance à oublier ce fait, Milla n’avait que six ans à l’époque alors elle l’emmena dans la salle de bain et entreprit de la déshabiller. Milla, qui avait était si sage, si calme, si douce se mit à se débattre.
- Non ! Tu as pas le droit !
- Tu ne veux pas que je te touche c’est ça ?
- Non c’est pas ça. Mais c’est le secret que je peux pas te dire. Papa a dit que c’est notre secret.
Briar avait regarder l’enfant avec un sourire tendre. Oui, c’était ça, elle n’était qu’une enfant, une enfant dont le regard tendait à le faire oublier.
- Voyons ma puce, ton papa est mon frère, je connais tous ses secrets tu sais.
C’était malin car l’enfant réfléchit un instant, cela lui parut logique, alors elle accepta. Cependant la femme était loin de se douter de l’horrible marque qu’elle découvrit dans le dos de la petite, sur sa colonne vertébrale.
- C’est le serpent du monsieur qui voulait rendre le monde meilleur.

Briar était une femme courageuse, c’était indéniable, mais elle se heurta à un mur si haut qu’il lui fallut plusieurs années pour réussir à expliquer les choses. Elle prit le parti de toujours être franche avec sa nièce, et cela fonctionna, plus ou moins. L’enfant compris pourquoi ses parents étaient partis en prison, pourquoi cette marque n’était pas quelque chose de « bien » et elle put accepter que ce n’était pas de sa faute si son papa et sa maman étaient partis en prison. Briar fit de son mieux, mais plus l’enfant comprenait plus elle se refermait sur elle-même. Etait-ce étonnant ? Un jour elle avait posé cette question-ci « alors, les gens mentent, mais pas les livres ? » La femme qui avait pris l’enfant sous son aile ne s’était pas attendue à ce que sa réponse pousse la petite à refuser de parler avec les gens. Elle parlait bien à sa tante, et en cas de besoin, elle n’était pas vraiment privée de la parole, disons qu’elle décidait de ne plus parler, et sa tante pensait à raison qu’elle évitait ainsi les mensonges des adultes.

L’enfant grandissait, gagnait en connaissances, et en beauté, et vînt le jour de son entrée à Poudlard. Sa tante avait remarqué des signes de magie chez la petite juste un peu plus tôt que la moyenne. Alors elle l’avait emmené après avoir reçu sa convocation à l’école de magie, chercher ses affaires pour les cours, robe de sorcier, balais et livres. Contre tout ce que Briar avait imaginé, la jeune fille avait été enjouée à l’idée d’aller à l’école de magie, même plus que ravie d’aller apprendre de nouvelles choses.

Chez Olivander un jour en Aout 2010

La jeune fille avait demandé si elle pouvait aller prendre sa baguette toute seule et comme Briar n’y voyait pas d’inconvénients elle poussa la porte de chez Ollivander faisant tinter la clochette caractéristique de la boutique poussiéreuse. Un comptoir vide, un bruit de roulette et la jeune femme apparaît devant elle, le visage sympathique, des cheveux bouclés d’un auburn clair qui tombent sur ses hanches, des lunettes rondes et démodées sur un petit nez rond couvert de tâches de rousseurs. Elle porte un pantalon à rayures verticales marrons, un chemisier beige et un gilet de costume brun.
- Bonjour. Vous n’êtes pas Le monsieur Ollivander.
La femme éclate d’un rire joyeux.
- Non en effet. Je suis sa fille. Mon père est parti à la retraite après…
Elle se racle la gorge et fronce les sourcils. Elle semble un peu troublée et souris.
- Tu es venue pour une baguette n’est-ce pas ?
- Oui, je m’appelle Milla.
La femme semble réfléchir commence à bouger et ramène une boite poussiéreuse sortant une petite baguette assez fine et peu taillée.
- Bois de mélèze et coeur en plume de Phoenix idéal pour les sorciers ayant un talent caché.
Milla fait le geste, explosion dans ses cheveux. Elle se met à tousser. La femme rit et récupère la baguette.
- Pas celle-ci de toute évidence.
Elle semble réfléchir un instant. Sort une nouvelle baguette et la lui tend. Même aspect peut-être un peu plus longue que la précédente.
- Bois d’If et Ventricule de dragon. Parfait entre les mains d’une personne sûre d’elle.
Milla fait le geste, et une force lui fait un croche patte et elle s’étale lamentablement, lâchant la baguette qui ne veut visiblement pas d’elle.
- Peut-être pas alors.
La femme observe l’enfant, semble hésiter et sort une boîte plus longue.
- Bois de Hêtre, plume d’oiseau tonnerre, 31cm 3/4 plutôt rigide. Faite pour les mains sages d’un sorcier au grand potentiel.
Milla lève un sourcil mais fait le geste. Le doux courant d’air qui se répand dans la boutique et l’allégresse qui la gagne.
- Eh bien ça alors.
La femme sourit et lui tend la boîte. La jeune sorcière observe la Baguette à la forme si particulière. C’est une baguette longue et torsadée, plutôt travaillée et anguleuse, blanche, ou presque.
- A manier avec précautions.
Un sourire complice, la tête dans les nuages, la jeune fille acquiesce et sort après l’échange. Brandissant fièrement sous les yeux de sa tante sa nouvelle baguette.

Milla entra à Poudlard, tout à fait consciente que ses parents avaient fait les gros titres des journaux quelques années auparavant. Elle n’en voulut pas à ceux qui chuchotaient dans son dos, ou qui rechignaient à faire des exercices pratiques avec elle, et à vrai dire, loin d’être timide, elle faisait sa vie comme si rien de tout cela n’avait d’importance. Grandissant dans cette école, gagnant en maturité et en force, traversant les années avec une aisance presque déconcertante, ignorant ce qui n’était pas en rapport avec son apprentissage sous les yeux inquiets de sa tante. Cette dernière lui envoyait une lettre par semaine. Ce fut à la fin de la seconde année que Briar décida qu’il était temps que sa nièce apprenne à faire confiance. Ce ne fut pas sa décision la plus éclairée, mais elle choisit pour cela de lui apprendre à devenir une Légilimens. Une sorcière pouvant lire dans les esprits. Son argument ? Elle pourrait savoir qui était un menteur, et choisir à qui faire confiance. Pour Milla ce n’était qu’un apprentissage de plus, un moyen d’assouvir sa curiosité maladive. Elle passa les trois années suivantes à suivre les enseignements de sa tante, montrant ses progrès lorsqu’elle la voyait, travaillant seule, au moins une heure par jour lorsqu’elle était à l’école. Persévérante, elle ne se laissa pas abattre par les échecs répétés et au bout de ces trois longues années, d’efforts acharnés, elle décida que ce n’était décidément pas pour elle.

Dans la cours à Poudlard Décembre 2015,

Elle s’est assise sur un muret, se concentre, et jette le sort, une fois de plus sans grand espoir que cette fois-ci contrairement aux autres, cela fonctionne. Après tant de méditation, concentration, et autre, elle le lance et se retrouve avec une voix dans sa tête.
« Je prends du jambon ou du poulet à midi… ? »

Ce n’était pas vraiment très glorieux, pas vraiment très utile, mais après l’instant qu’il fallut à la jeune femme pour réaliser, elle poussa une exclamation de joie. Il y eut un rire dans son dos.
- C’est le sort pour lire dans les pensées que tu essaies de lancer ?
Elle s’était retourné en sursaut. Un jeune homme avec un grand sourire qui s’assit à côté d’elle. C’était sa voix qu’elle avait entendu. C’était lui qui avait parler, pas un quelconque esprit. Elle grogna.
-Que j’essayais. Je vois pas pourquoi je continuerai ça ne mène visiblement à rien.
- Il faut peut-être porter de l’attention aux gens dans un premier temps.

Cette personne n’avait pas tort, mais elle plissa les yeux, attrapa ses affaires et partit.

En grandissant, elle avait pris une beauté presque irritante, et son passif, ou du moins celui de ses parents n’étaient pas vraiment très engageant, pour autant elle n’avait jamais repoussé une personne qui venait lui parler des cours par exemple, elle avait seulement cet air presque hautain sur le visage qui décourageait sans grande difficulté les potentiels intéressés. Ajoutez à cela qu’elle ne s’intéressait pas vraiment aux autres, mais plus aux créatures magiques… Vous obtiendrez une personne qui peut aisément être en train de lire, que quelqu’un vienne lui parler, qu’elle l’ignore royalement, ou qui même, dans les moments les plus intenses de ses lectures, pouvaient tout simplement se lever pour aller lire plus loin. Un message très clair pour un potentiel interlocuteur.

Si sa tante avait espéré que la nature de sa mère lui permettrait de s’ouvrir un peu plus aux autres, ou du moins que les gens s’approcheraient d’elle, les années passaient et la situation ne semblait pas vraiment évoluer. De toute façon Poudlard offrait suffisamment de secrets pour maintenir en haleine la curiosité maladive de la jeune femme, alors elle ne cherchait pas plus que ça à aller vers les autres. Elle pouvait même aller jusqu’à repousser les rares braves qui se risquaient à engager la conversation. Il n’y avait donc rien d’étonnant à ce que les gens ne viennent plus vers elle.

Elle traversa les années jusqu’à arriver en 11é année, avec des notes excellentes, sauf en duel, et ça la hérissait suffisamment pour la rendre irritable, elle était devenue une sorcière puissante et précise, mais seule. Elle n’aurait jamais cru qu’elle regretterait d’être ce qu’elle était, jusqu’à voir les couples se former. Comme cela semblait bien, d’avoir quelqu’un à qui faire confiance, quand cela se passait bien.

Elle n’avait pas de haine pour ses parents, et se rappelait leur relation qui avait été, très honnêtement, assez idyllique si on omettait la partie maléfique. Alors elle tentait de décrisper son visage qui affichait cet air suffisant en permanence ou presque, puisqu’elle avait lu dans les pensées d’un élèves, que cela la rendait était assez effrayante. Elle n’avait pas vraiment fait d’effort pour s’intégrer jusque-là, le nez dans ses bouquins et ne voulait pas de relation où on l’empêche d’étancher sa soif de connaissance, mais pourquoi pas se faire un ami ou deux. Et c’était devenu, sans qu’elle s’en rende compte, son nouveau sujet d’étude.

Apparence à 21 ans : En obtenant sa majorité elle était allée chez le tatoueur. Elle avait appris à accepter cette marque dans son dos, mais ne voulait pas qu’elle soit seule, elle arborait donc à présent différents tatouages, dans la nuque, sur les bras et les cuisses, sous les seins également, et des piercings sur les oreilles, et cela n’entachait en rien sa beauté, dont elle ne connaissait pas la nature surnaturelle, puisque sa mère n’avait pas eu le temps de lui en parler et que sa tant n’y avait jamais penser. Elle était dans la moyenne en taille, un mètre soixante-deux, elle était mince, possédait des formes là où il fallait, une jolie peau, de grands yeux qui semblaient sonder votre âme. Ses cheveux la rendaient reconnaissable, elle les portait le plus souvent détachés sauf, en cours de travaux pratique puisque ce n’était quand même pas ce qu’il y avait de plus pratique, une lourde et longue crinière qui cachait les yeux. Dans ces moments elle dévoilait sa nuque tatouée et fine. Elle avait une démarche légère et presque fluide, si elle n’avait pas eu une propension absolument unique à se prendre les pieds dans des tapis imaginaires. Elle était plutôt souple dans ses gestes, surtout quand elle faisait virevolter les livres avec sa baguette dans la bibliothèque. Elle était même très gracieuse dans ces moments-là, et pleine de vie. Et en fait, elle était l’illustration même de l’expression « ne pas juger un livre à sa couverture ». Elle avait entendu plus d’une fois des discussion qu’elle n’aurait pas dû entendre des élèves qui disaient à peu près en ces mots : Elle est jolie mais on dirait une vraie peste. En plus elle parle pas, elle doit vraiment détester tout le monde.

Ce n’était pas quelque chose d’agréable, mais elle devait avouer qu’elle avait fournis beaucoup d’efforts pour éloigner tout le monde un peu plus d’elle, si elle avait pardonné à ses parents pour beaucoup de choses, ce n’était pas le cas pour leurs mensonges et le monde de jolies licornes dans lequel ils lui avaient fait croire qu’ils voulaient vivre, quand ils avaient répandu la haine, la peur le sang et la mort. Il était temps de rompre le cycle.





Le Questionnaire du Choixpeau


1 - Quel est votre élément préféré ? Eau

2 - Quelle est votre matière préférée ? Etude des magies Anciennes

3 - Vous avez une heure de pause, que faites-vous ? Filer dans la forêt en balais avec un livre sous le bras et un sac remplie de chocogrenouilles.

4 - Quel est votre animal fantastique préféré ? l’Augurey et sa mauvaise réputation.

5 - Quel est votre sort préféré ? Locomotor

6 - Quelle est votre plus grande qualité ? Ma curiosité qui me fait m'intéresser à tout.

7 - Quel est votre plus gros défaut ? Ma curiosité qui m'empêche de lâcher l'affaire sans avoir ce que je veux.

8 - Quel métier désirez-vous faire ? Chercheuse ou Professeur de sortilège. Tout ce qui pourrait lui permettre d’approfondir ses connaissances sur le monde magiques et ce qui le compose, sorts et faune.





Qui es-tu ?


Mmmh, je suis étudiante en formation pour devenir éducatrice canin et auxiliaire vétérinaire, j’aime les animaux, et la littérature fantastique,le sport, comme le roller le patin etc. Je suis une buse en culture cinématographique et mon classique le plus épique est Hocus Pocus. J’aime les films Harry Potter, mais je n’ai jamais eu l’envie de les lire, ce que je commence à regretter ahahaha.



Top, complet, juste un peu de mla à m’y retrouver dans les topics etc.


On me l’a consseillé



Un mot sur ton personnage ?


C’est la première fois que je fais ce genre de personnages, c’est à dire, ce genre de background, et je voudrai qu’elle évolue pour faire grandir sa capacité à comprendre le monde et à accepter les autres.
Ah! Elle a une petite chouette qui a un problème de croissance et un regard énervé et assez belligérante.




Dernière édition par Milla Ocurancia le Jeu 27 Aoû - 11:53, édité 11 fois

descriptionMilla Ocurancia EmptyRe: Milla Ocurancia

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Bienvenue !

Bon courage pour la suite de ta fiche Wink

J'suis déjà fan de ton vava et je trouve la thématique du personne très chouette !

:panda:  :panda:  :panda:

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Bon courage pour ta fiche Mimi ton personnage va roxer du poney assurément Very Happy

descriptionMilla Ocurancia EmptyRe: Milla Ocurancia

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Bienvenue ! Et super vava !

N'hésite pas si besoin.

descriptionMilla Ocurancia EmptyRe: Milla Ocurancia

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Félicitation


Un petit mot sur ta présentation


Félicitation pour ta validation !


Quelques conseils


Maintenant, tu peux te lancer dans l'aventure. Avant cela, tu devras répertorier ton avatar et ton poste spécial ou ta particularité magique et ta famille de sang pur anglaise si c'est le cas.

Tu devras ouvrir ton dossier scolaire afin d'y répertorier tes notes aux Buses et aux Aspics , ainsi que ton niveau dans les différentes matières.
Si tu cherches quelqu'un de particulier comme un meilleur ami ou un membre de ta famille, tu devras te rendre dans cette catégorie.

Une fois cela fait, tu pourras créer ta fiche de lien, mais aussi commencer le rp en faisant une demande pour trouver des partenaires.

N'oublies pas de réclamer les points que tu as obtenu en terminant ta présentation.

Bon séjour sur le forum et que la magie soit avec toi.

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