Milla avait décider de passer sa pause de midi à la bibliothèque. Elle avait saluer d’un mouvement de tête distrait Mademoiselle Lestrange et était allé faire son marché. Elle avant brandit sa baguette et les livres la suivaient sagement sous le sort de Locomotor. Elle s’installa sagement à un table où elle entassa un pile de livre.
Hastein avait commencer à se mettre sur son dos car elle avait visiblement déçu ses attentes. Peu importait pour l’instant. Il ne s’était écoulé que quelques jours depuis la discussion houleuse avec Azel, elle était toujours un peu perturbé. Cet abrutis avait réussit à lui mettre de drôles de questions en tête et à la rendre curieuse sur des choses auxquelles elle avait préférer ne pas prêter d’attention jusqu’alors. Elle s’était toujours dit, peut-être avec naïveté qu’elle n’avait pas à savoir ce genre de choses. Que si elle pardonnait à ses parents leur folie sans pour autant les dédoiner de leur folie cela suffirait. Mais alors, si ils avaient rendu la vie de personnes qu’elle côtoyait difficilement vivable que devait-elle faire ?
Elle soupira et ouvrit un livre sur les vélanes et leur descendance. Elle avait songé à ignorer cette information, mais bien qu’elle vienne de sa mère en prison, cette partie faisait partie intégrante d’elle. Devait-elle l’ignorer ? Certes non, connaître son ennemi comme on se connaît soi-même était son let-motive. Cette partie d’elle-même n’était pas à proprement parler un ennemi, mais elle venait de sa mère qui n’avait pas été un modèle à suivre. Et si la folie de sa génitrice venait de sa nature ? Y avait-il un moyen d’y remédier ?
Elle soupira de plus belle. Non il n’y avait pas grand-chose de plus dans ces livres que ce qu’elle savait déjà. Elle se posa tout de même cette question un peu étrange : Allait-elle devenir hideuse comme une Harpie si elle s’énervait ?
Elle doutait que ce soit le cas, puisque si les dons de séduction s’étiolaient peut-être que cette partie aussi s’évaporaient. Il ne lui manquait plus qu’à savoir à quel point elle avait hériter de sa mère. Devait-elle s’excuser auprès de toutes les personnes qui avaient pu communiquer avec elle ces derniers temps ? Devait-elle commencer par Azel ? Elle secoua la tête avec énergie.
Milla n’était pas femme à faire montre d’égo surdimensionné, mais il était vrai qu’elle avait ses limites, et elle refusait de s’excuser pour ce qu’elle ne pouvait maîtriser, alors qu’elle n’avait même pas été au courant. Elle n’allait certainement pas aller s’excuser à son kidnappeur psychotique.
Devait-elle voir ceci comme la mort prématurée de son étude sur la sociabilisation ? c’était une possibilité qu’elle ne savait si elle devait envisager. Mais saurait-elle jamais si on l’appréciait pour qui elle était, ou pour ce qu’elle était ? La beauté finissait comme toute chose par s’étioler, mais si elle attirait les gens comme des mouches à cause d’un quelconque sort qu’elle ne maîtrisait pas, c’était une tout autre histoire.
Elle en vînt alors à se demander si son père avait jamais aimer réellement sa mère. Pouvait-elle alors se raccrocher à ce souvenir d’un couple heureux, entre autres choses ? Devait-elle se faire à l’idée de ne jamais être sûre si son amour serait ou non réciproque ? Ce qui avait été sûr c’était qu’Azel avait éprouver colère et rancune envers elle, et pourtant elle avait vu son regard sur elle. C’était tellement tordu comme capacité. Elle n’avait jamais envisagé de se marier et pourtant aujourd’hui elle s’interrogeait pour savoir si ce serait un jour envisageable.
Est-ce que cela aurait été plus simple si elle l’avait découvert plus tôt ? Peu de chance. Elle évitait les gens parce qu’elle considérait que ce n’était que des menteurs, et si ces derniers ne savaient pas que leurs impressions étaient biaisés ? Elle posa son front sur la table envoyant valser d’un coup de baguette tous les livres à leur place respectives. Elle se retînt de râler pour ne pas déranger la quiétude du lieu. Elle n’était pas la seule à avoir profiter de la pause pour aller bouquiner, et la voilà affalée sur la table comme si le monde ne tournait plus rond. Quelle merde.
Elle soupira et tripota ses cheveux faisait ce qu’elle n’avait pas fait depuis très longtemps dans ces moments où elle n’obtenait pas les réponses à ses questions elle se mit à triturer sa chevelure bleu pour en faire des nattes peu esthétique. Ça ne lui était pas arriver depuis très longtemps. Elle se redressa d’un coup et décida qu’il fallait commencer par le commencement. Alors ce fut dans le coin « voyance» qu’elle le vit absorbé par sa lecture.
Elle s’approcha d’un pas décidé.
Si ces lettres venaient de mes parents je veux les voir aussi. J’aimerai bien comprendre ce que c’est que ce bordel.
Ah, bah voilà ! La bonne vieille Milla était de retour. Pas d’entrée en matière, adieu la politesse et la bienséance. Elle fuyait son regard, pas très bien sûre que ça servirait à quoique ce soit. Elle voulait éviter de l’intoxiquer au maximum. Elle n’aimait pas l’idée qu’on l’approche à cause que quoique ce soit d’autre que sa personnalité. Et pourquoi quiconque l’approcherait ? Elle n’était pas vraiment la plus agréable sur ce terrain là. Donc il n’y avait pas de raison qu’elle imagine se faire un ami sur ce coup là.
Hastein avait commencer à se mettre sur son dos car elle avait visiblement déçu ses attentes. Peu importait pour l’instant. Il ne s’était écoulé que quelques jours depuis la discussion houleuse avec Azel, elle était toujours un peu perturbé. Cet abrutis avait réussit à lui mettre de drôles de questions en tête et à la rendre curieuse sur des choses auxquelles elle avait préférer ne pas prêter d’attention jusqu’alors. Elle s’était toujours dit, peut-être avec naïveté qu’elle n’avait pas à savoir ce genre de choses. Que si elle pardonnait à ses parents leur folie sans pour autant les dédoiner de leur folie cela suffirait. Mais alors, si ils avaient rendu la vie de personnes qu’elle côtoyait difficilement vivable que devait-elle faire ?
Elle soupira et ouvrit un livre sur les vélanes et leur descendance. Elle avait songé à ignorer cette information, mais bien qu’elle vienne de sa mère en prison, cette partie faisait partie intégrante d’elle. Devait-elle l’ignorer ? Certes non, connaître son ennemi comme on se connaît soi-même était son let-motive. Cette partie d’elle-même n’était pas à proprement parler un ennemi, mais elle venait de sa mère qui n’avait pas été un modèle à suivre. Et si la folie de sa génitrice venait de sa nature ? Y avait-il un moyen d’y remédier ?
Elle soupira de plus belle. Non il n’y avait pas grand-chose de plus dans ces livres que ce qu’elle savait déjà. Elle se posa tout de même cette question un peu étrange : Allait-elle devenir hideuse comme une Harpie si elle s’énervait ?
Elle doutait que ce soit le cas, puisque si les dons de séduction s’étiolaient peut-être que cette partie aussi s’évaporaient. Il ne lui manquait plus qu’à savoir à quel point elle avait hériter de sa mère. Devait-elle s’excuser auprès de toutes les personnes qui avaient pu communiquer avec elle ces derniers temps ? Devait-elle commencer par Azel ? Elle secoua la tête avec énergie.
Milla n’était pas femme à faire montre d’égo surdimensionné, mais il était vrai qu’elle avait ses limites, et elle refusait de s’excuser pour ce qu’elle ne pouvait maîtriser, alors qu’elle n’avait même pas été au courant. Elle n’allait certainement pas aller s’excuser à son kidnappeur psychotique.
Devait-elle voir ceci comme la mort prématurée de son étude sur la sociabilisation ? c’était une possibilité qu’elle ne savait si elle devait envisager. Mais saurait-elle jamais si on l’appréciait pour qui elle était, ou pour ce qu’elle était ? La beauté finissait comme toute chose par s’étioler, mais si elle attirait les gens comme des mouches à cause d’un quelconque sort qu’elle ne maîtrisait pas, c’était une tout autre histoire.
Elle en vînt alors à se demander si son père avait jamais aimer réellement sa mère. Pouvait-elle alors se raccrocher à ce souvenir d’un couple heureux, entre autres choses ? Devait-elle se faire à l’idée de ne jamais être sûre si son amour serait ou non réciproque ? Ce qui avait été sûr c’était qu’Azel avait éprouver colère et rancune envers elle, et pourtant elle avait vu son regard sur elle. C’était tellement tordu comme capacité. Elle n’avait jamais envisagé de se marier et pourtant aujourd’hui elle s’interrogeait pour savoir si ce serait un jour envisageable.
Est-ce que cela aurait été plus simple si elle l’avait découvert plus tôt ? Peu de chance. Elle évitait les gens parce qu’elle considérait que ce n’était que des menteurs, et si ces derniers ne savaient pas que leurs impressions étaient biaisés ? Elle posa son front sur la table envoyant valser d’un coup de baguette tous les livres à leur place respectives. Elle se retînt de râler pour ne pas déranger la quiétude du lieu. Elle n’était pas la seule à avoir profiter de la pause pour aller bouquiner, et la voilà affalée sur la table comme si le monde ne tournait plus rond. Quelle merde.
Elle soupira et tripota ses cheveux faisait ce qu’elle n’avait pas fait depuis très longtemps dans ces moments où elle n’obtenait pas les réponses à ses questions elle se mit à triturer sa chevelure bleu pour en faire des nattes peu esthétique. Ça ne lui était pas arriver depuis très longtemps. Elle se redressa d’un coup et décida qu’il fallait commencer par le commencement. Alors ce fut dans le coin « voyance» qu’elle le vit absorbé par sa lecture.
Elle s’approcha d’un pas décidé.
Si ces lettres venaient de mes parents je veux les voir aussi. J’aimerai bien comprendre ce que c’est que ce bordel.
Ah, bah voilà ! La bonne vieille Milla était de retour. Pas d’entrée en matière, adieu la politesse et la bienséance. Elle fuyait son regard, pas très bien sûre que ça servirait à quoique ce soit. Elle voulait éviter de l’intoxiquer au maximum. Elle n’aimait pas l’idée qu’on l’approche à cause que quoique ce soit d’autre que sa personnalité. Et pourquoi quiconque l’approcherait ? Elle n’était pas vraiment la plus agréable sur ce terrain là. Donc il n’y avait pas de raison qu’elle imagine se faire un ami sur ce coup là.