Je baillais éteignant mon réveil. J’étais en congé aujourd’hui mais j’avais prévu de faire quelques boutiques pour un peu redécoré l’appart au niveau de certaines pièces. J’avais acheté celui-ci y a quelques années en arrière maintenant, mais je n’avais pas pris le temps de tout redécoré. Faisant les pièces les plus importantes et laissant les autres pour un autre moment. Et j’avais décidé que cet autre moment ce serait aujourd’hui pour le coup. Habitant à Pré-Au-Lard, je n’avais pas forcément beaucoup de chemin à faire afin de trouver les boutiques qui pourrait m’aider à cette potentiel nouvelle décoration.
Je pris donc une douche bien chaude histoire de délié mes muscle comme il faut après cette nuit assez tourmentée de cauchemars en tout genre puis mis des habits simples dans lesquels j’étais bien. C’est à dire un jean noir, une chemise blanche et une veste noire avec un bonnet, car on entrait dans la saison froide. Après tout, c’était l’époque. Si on ne se couvrait pas un minimum c’était le genre de saison où on attrapait bien froid. Et juste avant Halloween ou Noël c’était un peu dommage quand même.
Je partis donc tranquillement faire quelques courses de-ci de-là. Allant un peu dans chaque boutique voir ce qui pouvait me plaire. Après tout autant se faire plaisir de temps à autres. Je sortis d’une énième boutique quand j’entendis quelqu’un se faire crier dessus de manière totalement gratuite. Un jeune homme était recroquevillé en plein milieu de la chaussée. Je ne savais pas ce qu’il se passait mais je m’approchais pour en savoir un peu plus sur l’affaire en question.
Rends moi ce que tu m’as volé sale garnement ! Ces bijoux valent une fortune !
Je sais pas de quoi vous parlez Monsieur, j’ai rien volé. Je ne sais même pas à quoi sont censé ressemblés vos bijoux… disais le gamin terrifié par ce grand gaillard.
Si ce n’est pas toi qui est ce ? Tu étais le seul proche de mon étalage te fous pas de moi petit !
Je vous jure que c’est pas moi ! dit-il dans un regain de volonté et de justice.
Je voyais dans les yeux de cet enfant qu’il était sincère.
Je m’approchais davantage et me mit entre lui et l’homme qui devait faire une tête de plus que moi, mon sac de marchandises sur une épaule.
Tu vas bien gamin ? Rentre chez toi tes parents vont s’inquiéter.
Le jeune homme me regarda puis l’homme qui l’accusait et de nouveau moi et je lui souris.
Vas-y petit, je m’occupe du grand gaillard dis-je dans un clin d’oeil.
Il finit par acquiescer et s’en aller tandis que le malabar était déjà en train de s’égosiller sur lui.
Reviens avorton ! J’en ai pas finis avec toi !
On se calme mec, ce gosse à rien fait lui-dis-je sans me démonter.
Te mêle pas de ça toi !
Stop ! Laissez-le il n’a rien volé. Ce gamin est terrifié bon sang vous ne le voyez pas espèce de crétin ?
Pardon qu’est ce que t’as dit l’abruti ?
Je soupire, me massant les tempes et me détourne de ce mec qui me les brise. J’ai autres choses à faire que de me prendre avec un gars aussi débile. Je fais signe de partir et entends sans problèmes ces pas lourds derrière moi.
Je vais t’apprendre à m’ignorer !
Je me détourne juste au moment où il va pour placer sa frappe. Il en perd l’équilibre et j’en profite pour lui mettre mon genou en plein plexus solaire. Ce simple mouvement le met à terre le souffle coupé. Il faut bien que ça serve d’être professeur de Self-Defense. J’évitais d’enflammer plus l’échange et sortis ma bourse et lui tendit.
Tiens prends ça, ce devrait être suffisant pour rembourser ce qu’on t’a volé. Je ne veux pas d’ennui, mais sache que je suis professeur de Self-Defense donc vaut mieux pas te frotter à moi. Tu as beau être plus baraquer et grand que moi je te mettrais au tapis encore et encore. Donc acceptes cette bourse et finit les histoires j’ai franchement mieux à faire, OK ?
Il sembla d’accord sur le coup, pris la bourse, se releva et alla pour me flanquer un autre coup. Sérieux il était vexé ? Je ne sais pas une fierté mal placée de crétin fini peut-être ? Bref, j’esquivais une nouvelle fois son coup avec un pas en arrière. J’armais ma paume de main et l’appliquait d’un coup sec au niveau de son menton ce qui eut tôt fait de le repousser en arrière.
Sérieux gars, il te faut quoi de plus ?
Faut que je te montre le respect blanc-bec !
T’es de quelle époque toi ? Blanc-bec sérieusement ? T’as pas trouvé mieux en stock ?
Je soupirais me disant que c’était vraiment chiant. Je n’avais vraiment pas envie de me battre aujourd’hui, je voulais simplement profiter de mon week-end. Etais-ce trop demander d’avoir la paix ? J’aimerais bien que quelqu’un vienne lui faire comprendre à ce crétin qu’il devait vraiment la boucler sans que je n’ais à intervenir plus. Après c’est moi qui allais avoir des ennuis. Pas que ça me dérangeait en soi, mais c’était surtout pour les cours derrière, j’étais le seul professeur, donc si j’étais arrêter ou autre ça serait compliqué d’assurer les cours et donc de gagner le pécule en fin de mois. Bref, je ne serais pas contre un peu d’aide ne serait-ce que pour éviter de lui casser sa gueule comme il faut.
Je pris donc une douche bien chaude histoire de délié mes muscle comme il faut après cette nuit assez tourmentée de cauchemars en tout genre puis mis des habits simples dans lesquels j’étais bien. C’est à dire un jean noir, une chemise blanche et une veste noire avec un bonnet, car on entrait dans la saison froide. Après tout, c’était l’époque. Si on ne se couvrait pas un minimum c’était le genre de saison où on attrapait bien froid. Et juste avant Halloween ou Noël c’était un peu dommage quand même.
Je partis donc tranquillement faire quelques courses de-ci de-là. Allant un peu dans chaque boutique voir ce qui pouvait me plaire. Après tout autant se faire plaisir de temps à autres. Je sortis d’une énième boutique quand j’entendis quelqu’un se faire crier dessus de manière totalement gratuite. Un jeune homme était recroquevillé en plein milieu de la chaussée. Je ne savais pas ce qu’il se passait mais je m’approchais pour en savoir un peu plus sur l’affaire en question.
Rends moi ce que tu m’as volé sale garnement ! Ces bijoux valent une fortune !
Je sais pas de quoi vous parlez Monsieur, j’ai rien volé. Je ne sais même pas à quoi sont censé ressemblés vos bijoux… disais le gamin terrifié par ce grand gaillard.
Si ce n’est pas toi qui est ce ? Tu étais le seul proche de mon étalage te fous pas de moi petit !
Je vous jure que c’est pas moi ! dit-il dans un regain de volonté et de justice.
Je voyais dans les yeux de cet enfant qu’il était sincère.
Je m’approchais davantage et me mit entre lui et l’homme qui devait faire une tête de plus que moi, mon sac de marchandises sur une épaule.
Tu vas bien gamin ? Rentre chez toi tes parents vont s’inquiéter.
Le jeune homme me regarda puis l’homme qui l’accusait et de nouveau moi et je lui souris.
Vas-y petit, je m’occupe du grand gaillard dis-je dans un clin d’oeil.
Il finit par acquiescer et s’en aller tandis que le malabar était déjà en train de s’égosiller sur lui.
Reviens avorton ! J’en ai pas finis avec toi !
On se calme mec, ce gosse à rien fait lui-dis-je sans me démonter.
Te mêle pas de ça toi !
Stop ! Laissez-le il n’a rien volé. Ce gamin est terrifié bon sang vous ne le voyez pas espèce de crétin ?
Pardon qu’est ce que t’as dit l’abruti ?
Je soupire, me massant les tempes et me détourne de ce mec qui me les brise. J’ai autres choses à faire que de me prendre avec un gars aussi débile. Je fais signe de partir et entends sans problèmes ces pas lourds derrière moi.
Je vais t’apprendre à m’ignorer !
Je me détourne juste au moment où il va pour placer sa frappe. Il en perd l’équilibre et j’en profite pour lui mettre mon genou en plein plexus solaire. Ce simple mouvement le met à terre le souffle coupé. Il faut bien que ça serve d’être professeur de Self-Defense. J’évitais d’enflammer plus l’échange et sortis ma bourse et lui tendit.
Tiens prends ça, ce devrait être suffisant pour rembourser ce qu’on t’a volé. Je ne veux pas d’ennui, mais sache que je suis professeur de Self-Defense donc vaut mieux pas te frotter à moi. Tu as beau être plus baraquer et grand que moi je te mettrais au tapis encore et encore. Donc acceptes cette bourse et finit les histoires j’ai franchement mieux à faire, OK ?
Il sembla d’accord sur le coup, pris la bourse, se releva et alla pour me flanquer un autre coup. Sérieux il était vexé ? Je ne sais pas une fierté mal placée de crétin fini peut-être ? Bref, j’esquivais une nouvelle fois son coup avec un pas en arrière. J’armais ma paume de main et l’appliquait d’un coup sec au niveau de son menton ce qui eut tôt fait de le repousser en arrière.
Sérieux gars, il te faut quoi de plus ?
Faut que je te montre le respect blanc-bec !
T’es de quelle époque toi ? Blanc-bec sérieusement ? T’as pas trouvé mieux en stock ?
Je soupirais me disant que c’était vraiment chiant. Je n’avais vraiment pas envie de me battre aujourd’hui, je voulais simplement profiter de mon week-end. Etais-ce trop demander d’avoir la paix ? J’aimerais bien que quelqu’un vienne lui faire comprendre à ce crétin qu’il devait vraiment la boucler sans que je n’ais à intervenir plus. Après c’est moi qui allais avoir des ennuis. Pas que ça me dérangeait en soi, mais c’était surtout pour les cours derrière, j’étais le seul professeur, donc si j’étais arrêter ou autre ça serait compliqué d’assurer les cours et donc de gagner le pécule en fin de mois. Bref, je ne serais pas contre un peu d’aide ne serait-ce que pour éviter de lui casser sa gueule comme il faut.