Londres était une ville fascinante, tellement fascinante que le chauffeur du taxi de la jeune Solveig avait tout simplement pris le chemin touristique pour arriver à la gare de King’s Cross, le temps de trouver la voie et de décharger tout son paquetage le stresse commençait à monter, imaginez la scène, ne pas pouvoir aller à Poudlard pour sa première année universitaire ? Elle ne s’en remettrait probablement pas de honte. De plus, elle ne pouvait définitivement pas utiliser la magie pour s’aider il y avait trop de Moldus dans les parages.
En parlant de Moldu le chauffeur de taxi était un vieux monsieur qui lui demandait si elle allait à une convention de jeune joueur de jeux vidéo vu son accoutrement, elle répondit que c’était exactement ça, c’était un rassemblement quelque peu festif mais surtout sérieux et studieux même. L’homme du croire qu’elle faisait parti d’une de ces entreprises qui mettent l’accent sur le « bien-être au travail » avec des convention hors de prix ainsi que des voyages aux frais de la princesse. Lui était chauffeur de taxi depuis 32 ans, il n’en avait cure et espérait seulement pouvoir aider ces enfants dans la vie voilà tout.
La gare était en vue, notre jeune sorcière se sentait toute survoltée à l’idée de découvrir les cours de soin aux créatures magiques, une sensation nouvelle car jusqu’à présent, son curseur allait surtout de super chiant (cours de duel) à passablement ok (cours de potion) mais sans grande conviction.
Elle paya une somme exorbitante et le fît remarquer au chauffeur qui haussa les épaules en disant « c’est Londres m’dame, c’est l’prix ici ! », elle bondit de la voiture un peu pressée sortie sa valise du coffre, manqua d’oublier son balai dans la voiture, et là le drame, son vieux compagnon décida de se fixer dans la porte quand elle le tira vers l’extérieur avec la précipitation ce qui eu pour résultat qu’il se fende au milieu. « Il va beaucoup moins bien voler » pensa-t-elle, mais elle n’avait pas le temps elle devait avancer.
Trouver la voie 9 ¾ avec une valise énorme, un balai sur le point de rompre et une chouette n’était vraiment pas de tout repos mais avec 10min d’avance elle franchi le mur la séparant du quai réservé aux élèves, elle chercha 5 autres bonnes minutes son wagon avant d’entrer, une jeune femme était déjà présente, elle n’y fît pas trop attention le temps de ranger ses affaires avant le départ.
Elle ne lui proposa pas d’aide pour sa valise, grand bien lui fasse, Solveig était une femme forte et indépendante après tout. Une fois installé elle se présenta « Je me présente je m’appelle Solveig, je rentre à Poudlard cette année en première année de cursus universitaire Médecine, Faune et Flore. »
Son interlocutrice avait clairement l’air dans la lune, les questions traversaient l’esprit de la jeune femme à une vitesse folle, quand soudain elle réalisa que le livre ouvert était sur les soins aux animaux magiques, elles devaient partager ce cours.
Elle mourrait d’envie de lui poser des questions sur le professeur, sur le contenu du cours, s’il y avait des visites ou aide possible dans des cliniques. Elle voulait lui parler de son père aussi, mais toutes ses pensées allaient si vite et bouillonnaient comme si elle voulait sortir de son esprit. Elle fini par prendre son courage à deux mains :
« Mais … tu étudies le soin au créatures magiques, non ? C’est une de tes matières ? »
C’est uniquement à ce moment qu’elle remarqua réellement la jeune femme en face d’elle. Tellement prise dans ses pensées elle avait même oublié de la regarder, sa beauté venait de figer le temps entre elles deux, le démarrage du train la sortie de sa rêverie, elle sentait ses joues rougir à mesure que les secondes s’égrenaient.
En parlant de Moldu le chauffeur de taxi était un vieux monsieur qui lui demandait si elle allait à une convention de jeune joueur de jeux vidéo vu son accoutrement, elle répondit que c’était exactement ça, c’était un rassemblement quelque peu festif mais surtout sérieux et studieux même. L’homme du croire qu’elle faisait parti d’une de ces entreprises qui mettent l’accent sur le « bien-être au travail » avec des convention hors de prix ainsi que des voyages aux frais de la princesse. Lui était chauffeur de taxi depuis 32 ans, il n’en avait cure et espérait seulement pouvoir aider ces enfants dans la vie voilà tout.
La gare était en vue, notre jeune sorcière se sentait toute survoltée à l’idée de découvrir les cours de soin aux créatures magiques, une sensation nouvelle car jusqu’à présent, son curseur allait surtout de super chiant (cours de duel) à passablement ok (cours de potion) mais sans grande conviction.
Elle paya une somme exorbitante et le fît remarquer au chauffeur qui haussa les épaules en disant « c’est Londres m’dame, c’est l’prix ici ! », elle bondit de la voiture un peu pressée sortie sa valise du coffre, manqua d’oublier son balai dans la voiture, et là le drame, son vieux compagnon décida de se fixer dans la porte quand elle le tira vers l’extérieur avec la précipitation ce qui eu pour résultat qu’il se fende au milieu. « Il va beaucoup moins bien voler » pensa-t-elle, mais elle n’avait pas le temps elle devait avancer.
Trouver la voie 9 ¾ avec une valise énorme, un balai sur le point de rompre et une chouette n’était vraiment pas de tout repos mais avec 10min d’avance elle franchi le mur la séparant du quai réservé aux élèves, elle chercha 5 autres bonnes minutes son wagon avant d’entrer, une jeune femme était déjà présente, elle n’y fît pas trop attention le temps de ranger ses affaires avant le départ.
Elle ne lui proposa pas d’aide pour sa valise, grand bien lui fasse, Solveig était une femme forte et indépendante après tout. Une fois installé elle se présenta « Je me présente je m’appelle Solveig, je rentre à Poudlard cette année en première année de cursus universitaire Médecine, Faune et Flore. »
Son interlocutrice avait clairement l’air dans la lune, les questions traversaient l’esprit de la jeune femme à une vitesse folle, quand soudain elle réalisa que le livre ouvert était sur les soins aux animaux magiques, elles devaient partager ce cours.
Elle mourrait d’envie de lui poser des questions sur le professeur, sur le contenu du cours, s’il y avait des visites ou aide possible dans des cliniques. Elle voulait lui parler de son père aussi, mais toutes ses pensées allaient si vite et bouillonnaient comme si elle voulait sortir de son esprit. Elle fini par prendre son courage à deux mains :
« Mais … tu étudies le soin au créatures magiques, non ? C’est une de tes matières ? »
C’est uniquement à ce moment qu’elle remarqua réellement la jeune femme en face d’elle. Tellement prise dans ses pensées elle avait même oublié de la regarder, sa beauté venait de figer le temps entre elles deux, le démarrage du train la sortie de sa rêverie, elle sentait ses joues rougir à mesure que les secondes s’égrenaient.