Du grabuge à la bibliothèque | Amy et Sorin (Abandonné)

Il n'avait pas de chance, la poisse avait tendance à lui coller à la peau en ce moment, le petit sorin se pensait même victime d'un sortilège ou d'une malédiction. La pire période de l'année scolaire pendant la meilleure saison, le prince de la nature maudit le destin pour cela. le printemps, le beau temps, les fleurs qui commençaient a l'éclore, le chants des animaux, rien de mieux pour passer sa journée dehors. Il aurait fait à coeur joie si ce n'était une grosse épreuve qui l'attendait: Une tonne de révisions, une tonne de cherche à faire a la bibliothèque pour les examens, les premiers de toute sa vie, les premiers de l'année. A se sujet, son oncle l'avait pas raté, lui avait envoyer un  hiboux pour faire un petit rappel à l'ordre. Une lettre ou il lui disait de bien  réviser et gare a lui s'il obtiendrait pas de bonnes notes. il fallait donc se faire une raison, faire un trait sur le parc et aller s'enfermé dans les murs du château.

Tant pis, il se consola en se disant qu'il pourra en profiter le week end, dimanche en tout cas. le jour du repos, le jour de la glande, il pouvait bien se faire ce petit écart. Le petit jaune et noir  était entrain de finir son repas dans la grande salle avec les autres de sa maison, en profita même pour soutirer des informations au plus vieux sur les examens des premières années. Les avis étaient mitigés, les uns les trouvaient trop faciles alors que d'autres avaient bien galéré, il n'aura rien de très concluant. Il quitta la table avec un petit sourire sur ses lèvres, le ventre bien remplie, fila dans son dortoir pour aller chercher ses affaires scolaires. Inutile de prendre toutes les matières, il allait commencer par deux:  les potions et sortillège dont il devait faire une tonne de recherches. Il prit ses livres sous son bras, prit la direction de la bibliothèque. Ce jour là, il n’y avait pas grand monde sur place, sorin n’eut aucun mal à se trouver une  table. Cependant et alors qu’il était  dans les rayons du fond, le pauvre garçon subit un mauvais tour du pire des fantomes du château : Peeves, esprit frappeur, avait fait écrouler sur lui une montagne de livres, de romans. Il y en avait trop sur lui, il ne pouvait s en défaire et il faisait bien sombre la dedans

«  aaaaaaaaaa l aide !!! aaaaaaaaa laide » criait il en espérant se faire entendre.

Dernière édition par Sorin Greylord le Ven 7 Mai - 14:34, édité 1 fois

Une école pour sorcier ou le temps d Indiana Jones, une question qui venait souvent dans l esprit du petit Srin. Faites attention, les escaliers n'en font qu'à leur tête leur avait dit le préfet. Les escaliers et les fantômes alors ? Les pires du château, toujours à fait de mauvaises farces et aux premières années. C'était si facile pour eux de s'en prendre aux plus jeunes, les plus vieux en avaient pris l'habitude, ils étaient vaccinés en quelques sortes et ne se faisaient plus avoir. Peeves, l'esprit frappeur, était le pire de tous, les rumeurs sur lui étaient bien fondées, le petit prince de la nature en avait déjà entendu de belles sur lui. Il hantait dans le château depuis des années maintenant, passait presque tout son temps à faire de mauvaises farces aux pauvres sorciers qui n'avaient rien demandé. Une rumeur racontait même que rusard avait tenté de le chasser du château, cependant allez chassez un fantôme de la. C'était possible d'ailleurs ? Une montagne de romans, de livres sur le pauvre sorin dont le poids l'empêcher de se sortir de la. Le pauvre, il avait tenté de tout pousser, de se relever, cependant il manquait cruellement de force, du pousser un appel à l'aide en espérant se faire entendre. Par chance, l'une des professeurs était dans le coin, pu facilement le liberer de cette maudite prison avec un petit cadeau en prime; Un bouquin sur les sortilèges, le petit prince fut heureux et gêné du présent. Il ne savait comment le prendre, conscient de ses performences du moment dans cette matière. Il n’était vraiment pas le meilleur de sa classe, galérait pour de nombreux sortilège. Il eut quand même la délicatesse de prendre l’objet en main avec un petit sourire sur ses lèvres. L’enfant de la nature était très timide face à des présents, il rougissait de plus belle, sentit le chaud sur ses petites joues :^

« Mer.. merci… C est pour les cours ? » fit il en baissant les yeux sur la page ouverte. Un sortilège utile selon son interlocutrice, enfin fallait il savoir le maitriser « non madame, c est peeves, le fantôme »

Au même moment, une autre jeune femme vint se joindre à eux, la responsable des lieux. D’un coup de baguette magique, elle parvint à ranger tous les romans, à les remettre à leur place initiale. Même s’il vivait depuis des années avec la magie, le petit jeune homme fut amusé de se tour de passe passe, poussa un petit rire amusé.

« Oui, je crois l avoir vu, pourquoi vous le connaissez ? Il fait souvent ça ? »

Fit il en ramassant ses propres livres.

Le petit jaune et noir avait une certaine fierté, surtout devant de grandes et belles femmes. Il aimait se faire bien voir des professeurs ou du personnel, sans pour autant rentrer dans le léchage de bottes. Ce fut cette raison qui le poussa à dissimule sa petite douleur au niveau du front. L'un des livres l'avait touché sur l angle, le pire, ça faisait bien mal et il avait déjà la sale impression d avoir une bosse qui commençait à lui pousser sur le crâne. Ca le grattait, ça le démangeait, le petit prince de la nature ne pu s'empêcher d'y passer la main, de frotter d'une façon énergétique. Il écouta ses deux interlocutrices qui semblaient prendre ça pour de l amusement, pour une habitude. Le professeur connaissait ce maudit fantôme; sorin se jura lui rendre la monnaie de sa pièce. De quelle façon? Pas évident de rendre l appareil a un farceur qui était transparent et mort, cependant le petit y allait y réfléchir sérieusement. Là, son teint devint tout blanc quand il apprit qu'il allait devoir lui même faire une démonstration du sortilège demain en court. Parfois le coeur sauvage devrait tourner sept fois la langue dans sa bouche avant de parler, retenir des mots qui lui porterait préjudice. A vrai dire, il ne connaissait pas du tout le sort en question et vu son niveau dans cette matière, il allait faire des catastrophes. Le pauvre, son corps était tout raide, sa bouche en forme de O sans pour autant être capable de prononcer le moindre mot. Le moment gênant, critique était arrivé, bien plutot que prévu. La professeur avait eut une très bonne et mauvaise idée, elle allait sans doute en payer les pots cassés. Petit à petit ses yeux se rivèrent sur la page du livre ou il y avait le sortilège, sa respiration se coupa d'un coup durant un petit instant comme s il avait vu un revenant. Il avait beau relire une ou deux fois ce passage, il ne se sentait pas du tout capable de le reproduire pour demain même avec de l entrainement .
" Madame.. Euh, je ne sais pas si je vais y arrivé .. euh.. je pense que vous devriez demander à une autre personne non ?"

Un petit sourire sur son visage, les yeux qui roulaient vers le sol, il n’était pas dans une position confortable. Il espérait avoir une petite compréhension de sa part, une pitié.

« oui mais dans ce cas la pourquoi on le laisse toujours au château ou on ne lui dit rien ? »

Fit il a l autre femme qui venait de confirmer les hypothèses du prince de la nature au sujet de ce fantome. Ils avaient bien l habitude de ses mauvais tours.


ps : je suis desole du retard mais je ne sais pas pourquoi, j ai pas eut mon mail